
Festival de Cannes 2013


Cannes, jour 10 : James Gray et son “immigrant”, l’Iran cannibale de Rassoulof, Gallienne triomphe à la Quinzaine et Jarmusch est plus fort que Twilight

Cannes, jour 9 : Le noir et blanc de Nebraska, la foi de Tore Tantz, un irrésistible Jerry Lewis et les travaux d’Hercule de Jodorowsky

Cannes, compétition : Nebraska d’Alexander Paine, un road-movie père-fils languissant sur la Croisette

La vie d’Adèle (Blue is the warmest Color) : Abdellatif Kechiche filme une magnifique histoire d’amour

Cannes, jour 8 : brillante absence de Ryan Gosling, le charisme de Robert Redford, un film argentin sur les traces de Mengele et l’émotion Adèle par Kechiche

Cannes, jour 7 : le kitsch raté de Liberace, la jolie surprise des Châteaux en Italie, Claire Denis évasive et quelques grigris de nuit

Cannes, compétition : « La Grande Bellezza » : Rome, une ville qui n’en finit pas de mourir sublimée par la caméra de Paolo Sorrentino

Cannes, jour 6 : de l’action japonaise, un Guillaume Canet américain avec blood ties, Sorrentino génie de la nostalgie à la romaine et James Franco essayiste de Faulkner

QUINZAINE : “LES GARÇONS ET GUILLAUME, À TABLE !” DE GUILLAUME GALLIENE, SUCCÈS TOTAL DE LA QUINZAINE DES RÉALISATEURS

Cannes, jour 5 : Avec Borgman, Serge Bozon et Bombay Talkies, une journée entre Europe et Asie pour finir la première semaine du festival

Quand le folk avait le blues : Inside Llewyn Davis des frères Coen en compétition du 66ème festival de Cannes

Cannes, jour 4 : la grandeur de Desplechin,l’amour nucléaire de Rebecca Zlotowski, le folk des frères Coen et la grandeur de la Thailande

Cannes, compétition : Jimmy P., Desplechin anthropologue atteint des sommets avec Benicio del Toro et Matthieu Almalric

Cannes, jour 3 : Un passé magnifique, le retour de Marcel Ophuls, l’émotion Quillévéré et Lilly Wood and the Prick sur la plage

Tel père, tel fils, de Hirokazu Kore-Eda : La vie est un long fleuve tranquille version Japon en compétition
