
Agenda cinéma de la semaine du 28 février
De la jeunesse et du désir, de l’amour et de l’amitié… Mais aussi de l’action, du suspens et du rêve ! La sélection de la semaine saura vous extirper du grand froid.
Call me by your name, de Luca Guadagnino
Dans le film tant attendu de Guadagnino, le jeune Timothée Chalamet incarne Elio, un garçon de 17 ans, fils d’intellectuels et mûr pour son âge. Lorsqu’il fait la rencontre d’Oliver, le désir s’éveille entre les deux garçons. Timothée Chalamet, nommé au Golden Globes et en course pour l‘Oscar du meilleur acteur, se dévoile sous l’égide de la délicatesse.
Hurricane, de Rob Cohen
Un casse à hauteur de 600 millions de dollars, un ouragan, de l’action, de l’action, de l’action… Les amateurs de rythme soutenu et de souffle retenu aimeront ce nouveau film du réalisateur de Fast and Furious, qui voit toujours plus grand et plus spectaculaire.
La fête est finie, de Marie Garel-Weiss
Dans un centre de désintoxication, Céleste et Sihem, arrivées le même jour, se lient d’une amitié si forte qu’elles finissent bientôt par se faire virer du centre. Livrées à elles-mêmes, elles vont devoir se faire face l’une et l’autre, et faire face à elles-mêmes. Un film moins sur l’addiction que sur l’amitié et l’espoir. Notre critique ICI !
https://www.youtube.com/watch?v=DtbYKBcORe8
Le film de Greta Gerwig pourrait bien être une pépite. La jeune Christine alias “Lady Bird”, en révolte contre ses parents qui peinent à joindre les deux bouts, veut absolument quitter Sacramento pour aller faire ses études à New York. Un film empreint de délicatesse et de nostalgie des années 1980. Notre critique ICI !
L’amour des hommes, de Mehdi ben Attia
Ce film franco-tunisien raconte le basculement de la vie d’Amel (Hafsia Herzi), jeune photographe, qui après la perte de son mari, reprend goût à la vie en photographiant des hommes de manière érotique. Le film pose une problématique socioculturelles, autant que des questions de désir.
Les Garçons Sauvages, de Bertrand Mandico
“La plus belle des hallucinations”, chante la bande annonce. Bertrand Mandico, dans son film Les Garçons sauvages, nous entraîne dans un onirisme décharné, aux couleurs rêvées qui alternent avec un noir et blanc contrasté.
L’immense classique d’Hitchcock est réédité à la Filmothèque du Quartier Latin à Paris, et dans plusieurs salles en France. Toujours aussi glaçant, le maître du suspens nous ravit toujours !
Visuel : ©Sony Pictures Classic, © 2018 – SND, © 2018 – Pyramide Distribution, © 2018 – Entract Film, © 2017 – Epicentre Films, © 2018 – UFO Distribution, UniversalMovie, affiche officielle.