Rien de neuf sous le soleil de la musique pop et ses U.V.. Jambes au repos, on regrette les deux chanteuses à leurs débuts.
Quelques sonorités latino sympathiques au tout début, et puis…et puis plus grand-chose. La substance manque cruellement dans cette rencontre qui promettait d’être chaude. A peine envie de danser à l’écoute du morceau : guitares qui s’emballent en une ligne uniforme sur le refrain, voix qui semble n’appartenir qu’à une chanteuse, sauf qu’il y en a deux, paroles qui s’annulent elles-mêmes, fin brutale comme une chanson metal…
On a envie d’employer le qualificatif très galvaudé de « commercial ». Pas parce que les interprètes de « Can’t remember to forget you » sont Shakira et Rihanna, mais parce qu’elles semblent tombées dans une espèce de standardisation qui n’est plus ni déplaisante, ni agréable. Juste insignifiante.
Parallèlement à ses études littéraires : prépa Lettres (hypokhâgne et khâgne) / Master 2 de Littératures françaises à Paris IV-Sorbonne, avec Mention Bien, Geoffrey Nabavian a suivi des formations dans la culture et l’art. Quatre ans de formation de comédien (Conservatoires, Cours Florent, stages avec Célie Pauthe, François Verret, Stanislas Nordey, Sandrine Lanno) ; stage avec Geneviève Dichamp et le Théâtre A. Dumas de Saint-Germain (rédacteur, aide programmation et relations extérieures) ; stage avec la compagnie théâtrale Ultima Chamada (Paris) : assistant mise en scène (Pour un oui ou pour un non, création 2013), chargé de communication et de production internationale.
Il a rédigé deux mémoires, l'un sur la violence des spectacles à succès lors des Festivals d'Avignon 2010 à 2012, l'autre sur les adaptations anti-cinématographiques de textes littéraires français tournées par Danièle Huillet et Jean-Marie Straub.
Il écrit désormais comme journaliste sur le théâtre contemporain et le cinéma, avec un goût pour faire découvrir des artistes moins connus du grand public. A ce titre, il couvre les festivals de Cannes, d'Avignon, et aussi l'Etrange Festival, les Francophonies en Limousin, l'Arras Film Festival.
CONTACT : [email protected] / https://twitter.com/geoffreynabavia