
L’agenda cinéma du 2 octobre 2019
Nouvelle semaine, nouveau planning ! Cette semaine, la rédaction propose une sélection de films aussi hétéroclites que possible, avec une grande partie dédiée au cinéma français. Bonne semaine !
Sye Raa, de Surender Reddy
Cette semaine, la sélection commence avec deux productions indiennes. Ce premier film est un film d’action hindi qui se passe dix ans avant la Première Guerre d’Indépendance de l’Inde de 1857. Il raconte l’histoire de Narasimha Reddy, fils d’un fermier qui lança une forte révolte réunissant près de 5000 paysans au Kurnool District, quartier de la ville Andhra Pradesh, dans le Sud Est de l’Inde. Le film est basé sur l’histoire vraie de cet homme qui provoqua une rébellion contre la Compagnie des Indes britannique, dans la première moitié du XIXème siècle.
Asuran – The Demon, de Vetri Maaran
Ce deuxième film, cette fois-ci raconté en tamoul raconte l’histoire un événement réalisé par un homme armé et toujours accompagné de 10-15 personnes qui est passé inaperçu et qui déclencha une guerre entre différents parties, avec au milieu des enjeux de territoires et d’honneurs.
Gemini Man, de Ang Lee
Dans ce nouveau film, Will Smith joue à la fois le rôle d’un tueur professionnel nommé Henry Brogan, et le jeune homme qui est sensé le tuer, son double plus jeune que lui, créé de toute pièce par une agence, possible grâce à un rajeunissement numérique. Le film a été réalisé par le réalisateur de L’odyssée de Pi, et a été produit par Jerry Bruckheimer, producteur des Pirates des Caraïbes.
J’irai où tu iras, de Géraldine Nakache
Géraldine Nakache joue une jeune femme qui rêve de devenir chanteuse et choriste. Un jour, elle a une audition a quatre heures de voiture de chez elle. Son père (Patrick Timsit), avec qui elle est très proche, ne peut l’accompagner, alors il décide de demander à sa deuxième fille, Mina, de venir avec elle. Mais les deux sœurs ont des relations très compliquées. Elles acceptent finalement pour faire plaisir à leur père. Certaines nouvelles vont alors bouleversés leurs rapports.
Alice et le maire, de Nicolas Pariser
Fabrice Luchini incarne dans ce nouveau film le maire de Lyon. Mais pourtant à un haut niveau de sa carrière, il se retrouve dans une période d’incertitude personnelle très forte, avec l’impression de ne plus, ni savoir penser, ni prendre de décisions. Pour palier à ce problème, il se met à travailler avec Alice, jeune philosophe sensée l’aider à retrouver une réflexion construite. Mais la présence de la jeune femme va bousculer le quotidien stricte d’un cabinet politique où les choses ne sont pas faites pour changer.
Atlantique, de Mati Diop
Le film se passe dans une banlieue de Dakar. Dans une dizaine de jours, Ada doit épouser Omar, mais est amoureuse d’un autre homme Souleiman, ouvrier dans une entreprise qui ne le paye pas depuis des mois. Entre l’union d’Omar et Ada et les conditions de travail qui ne sont plus acceptables, ce dernier décide de partir du Sénégal, sans rien dire à personne. Mais lors de la cérémonie de mariage, un incendie se déclenche et Souleiman est accusé d’en être responsable. Mais la raison de l’incendie n’est pas celle dont s’attendait les différents protagonistes.
Vous êtes jeunes, vous êtes beaux, de Franchin Don
Lucius Marnant est malade, mais ne peut pas payer les soins. Par nécessité, il se lance dans des combats de boxe seniors et clandestins suite à sa rencontre avec un homme, Lahire, qui lui fait découvrir cet univers. Lucius découvre alors un monde qu’il n’aurait jamais imaginé fréquenté. Pourtant, il y prend goût, et se laisse faire. Mais c’était sans compter sa femme, Mona, qui représente le pilier solide de la réalité. Pris dans la tangente entre une vie nouvelle qu’il n’attendait pas et la vie normale qu’il a toujours eu, le film intrigue.
Chambord, de Laurent Charbonnier
Chambord est un documentaire sur un des plus grands châteaux de France raconté par Cécile de France. Entre reconstitutions historiques par le biais de dessins animés et archives filmées en très grande qualité, ce film retrace toute l’histoire du lieu, depuis sa première pierre jusqu’à aujourd’hui.
Le regard de Charles, par Marc Di Domenico
En 1948, Edith Piaf offre à Charles Aznavour une petite caméra, qu’il emmènera partout. Dans tous ses voyages, ses moments personnels, familiaux, et professionnels. Ce film fait découvrir les images produites par Aznavour lui même et racontées par Romain Duris qui prend le rôle du chanteur pour les décrire au public.
Visuel : ©Affiche Atlantique, de Mati Diop, durée 1h44, sortie en salle le 2 octobre 2019