Les cordes de l’Histoire de la Shoah sonneront sous l’archet de Sonia Wieder-Artherton et les marteaux du piano de Laurent Cabasso pour Yad Layeled

Les enfants ont des droits, le premier devrait être celui d’exister et d’avoir un accès libre et multiple à l’éducation. L’histoire de la Shoah ne doit pas disparaître, Yad Layeled se bat pour l’accès des enfants à cette partie insupportable de l’Histoire. L’exceptionnelle violoncelliste Sonia Wieder-Atherton et le pianiste Laurent Cabasso s’engagent aux côtés de Yad Layeled France et offriront un concert le 14 juin au théâtre du Ranelagh.

Un enfant éduqué sera un adulte intelligent, libre avide de partage. Il est important de se questionner dès le plus jeune âge sur l’antisémitisme, l’intolérance et le racisme en général dans une société démocratique.

Une malette pédagogique, une exposition photo sur des enfants sauvés, des séminaires destinés aux enseignants, une bande dessinée, une affiche sur les droits de l’enfant, une exposition sur Janusz Korczak et des témoignages de membres de l’association, racontant leurs histoires d’enfants cachés ou sauvés, voilà ce que propose Yad Layeled pour transmettre  l’histoire de la Shoah et construire un présent et un futur basés sur la tolérance.

La vie doit triompher, Sonia Wieder-Atherton bouleversante musicienne aux talents lumineux et enivrants comme vous avez pu l’entendre dans « Chants juifs » ou « Vita » que vous avez peut être eu la chance de voir et d’applaudir aux Bouffes du nord.

Le pianiste Laurent Cabasso accompagnera Sonia Wieder -Atherton de son piano le 14 juin au théâtre du Ranelagh.

Brahms, Bartók, Chostakovitch et des chants juifs vous emporteront pour une soirée qui promet d’être somptueuse.

Vibrez au son de l’excellence et participez à l’éducation des enfants pour ne plus jamais être victime de l’ignorance, de la violence et de l’intolérance.

« Yad Layeled France fait cet extraordinaire travail de transmission, cherchant sans cesse à ce que les forces de vie, par la connaissance du passé gagnent sur celles de l’ombre. » Sonia Wieder-Atherton