
El Ultimo Elvis, la parabole tendre d’Armando Bo sur le déni de vie propre
Scénariste, et notamment collaborateur de Inarritu sur “Biutiful“, le cinéaste argentin Armando Bo passe derrière la caméra pour une fiction tendre et touchante mettant en scène un sosie d’Elvis, occupé à chanter le répertoire du King pour ne pas vraiment assumer sa vie d’homme et de père. Un beau film, en salles le 16 janvier prochain.
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Carlos “Elvis” Gutierrez travaille de jour à l’usine et donne la nuit des tours de chants où il réjouit des petites salles avec le répertoire du King. Divorcé, il n’a à charge que lui-même. Jusqu’au jour où un accident terrible paralysant la mère, sa toute jeune fille, Lise-Marie a besoin de lui…
BO impeccable, malaise incarné avec grâce par John Mc Inerny, “Ultimo Elvis” distille un parfum de nostalgie entêtant le long du chemin initiatique que suggèrent plans séquences et travelling méditatifs. Un drame emprunt de poésie, trempé dans la musique du King, qui devient la parabole des chemins de traverse qui éloignent du cœur de la vie. A mille lieues de la comédie argentine, telle qu’on l’attend, un film méditatif et touchant, récompensé à San Sebastian et au festival Cinelatino.
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5 thoughts on “El Ultimo Elvis, la parabole tendre d’Armando Bo sur le déni de vie propre”
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Johan
Yop !
Les réponses sont :
R1>Graceland R2>Sailor et Lula
Bien à vous !