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Top 8 des sorties culturelles de la semaine du 28 décembre 2015

Top 8 des sorties culturelles de la semaine du 28 décembre 2015

28 December 2015 | PAR Pauline L'Huillier

Non, Paris ne vit pas au ralenti pendant les fêtes de fin d’année. Avec cette belle sélection des sorties culturelles, vous n’aurez plus d’excuses pour ne pas aller vous cultiver pendant cette semaine de fêtes. Et bien sur Toute La Culture vous a concocté tout un programme pour sortir le soir du 31 ! 

Lundi 28 décembre

Musée des Arts forains – Pavillon de Bercy

Pour faire rêver les enfants, le musée des Arts forains, installé dans une ancienne halle aux vins, ouvre grand ses portes aux visiteurs pour les fêtes de fin d’année. Du 26 décembre au 4 janvier, c’est toute la zone enguirlandée des pavillons de Bercy qui bat au rythme d’engins de foire, de musiciens et de jongleurs, enchaînant spectacles automatisés, tours de manège et récréations improbables.

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Sarah Lancman Quartet – Sunset Sunside, Paris 1er 

Sarah Lancman, la nouvelle voix Jazz du moment, dévoilera en avant première ses nouvelles compositions. Fraîchement revenue de New York où elle vient d’enregistrer son nouvel opus, elle sera accompagnée par une section rythmique de prestige tel que Giovanni Mirabassi avec qui elle a co-écrit certains titres. Concert à 21h

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Mardi 29 décembre 

Anselm Kiefer – Centre Pompidou

C’est l’heure des grandes expositions rétrospectives pour l’artiste qui a inauguré Monumenta. Après une exposition-fleuve à la Royal Academy, c’est au Centre Pompidou de laisser ses grandes toiles et installations déborder ses généreux espaces. Une exposition-fleuve, riche généreuse, où Kiefer s’installe jusque dans le forum (il avait investi la cour de la RA) et apporte des installations ou des améliorations de dernière minute. Une exposition également tournée vers le mythe, la mémoire et l’histoire.

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The Roots – Palais de Chaillot 

Kader Attou fut l’un des premiers, avec son complice Mourad Merzouki, à ouvrir les chemins d’un hip hop à la française. Interprété par onze danseurs, son nouveau spectacle “The Roots”, est un spectacle de danse dans lequel vous retrouverez tous les fondamentaux du hip hop : figures de break, jeux de jambes, vitesse et tensions. Mais il y a surtout une mémoire sensible des corps, une vision humaniste de la danse et une forme d’autobiographie gestuelle.

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Mercredi 30 décembre 

Qui a peur des femmes photographes ? – Musée d’Orsay, Orangerie

Sous un titre énigmatique pour ne pas dire racoleur, se dévoile finalement une exposition louable dans ses intentions, mettant à l’honneur des œuvres de grandes qualités et rarement exposées, répondant à un vrai champ de la recherche en sciences humaines, mais dont l’accrochage se perd un peu dans un propos trop large et globalisant.

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Jeudi 31 décembre 

Yoyo – Palais de Tokyo

Le Palais de Tokyo va trembler sous les mixs explosifs de Sebastien Kross & Friends avec une compilation de 30 ans de tubes Dancefloor. C’est au coeur des plus beaux quartiers de Paris que vous assisterez à la plus démesurée des soirées du jour de l’an 2016. Le Yoyo est le nouveau club à la mode que toutes les marques et tous les artistes s’arrachent. Tempête de confettis, décompte pour 2016 sur écran géant (10 mètres), clientèle festive et souriante… Tous les ingrédients seront réunis pour un réveillon grandiose !

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Badaboum

– Welcome 76 – Pour le Réveillon, le Badaboum fait un bond dans le temps de tout juste 40 ans… 1976 sera disco ou ne sera pas ! Au delà d’une année c’est à toute une époque de sublime decadence que nous rendrons hommage en ce soir de réveillon. Les 33 tours seront poussés toute la nuit par le collectif londonien Horse Meat Disco, représentation incarnée du disco sous toutes ses formes. Accessoires rétro et déglingo obligatoires pour accéder à la soirée !

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Vendredi 1 janvier 

Singin’ in the Rain – Théâtre du Châtelet 

A Paris, il n’y a guère que le théâtre du Châtelet pour rivaliser avec les lumières de Broadway. La preuve cette saison avec le féerique ‘Singin’ in the Rain’, chef-d’œuvre signé en 1952 par l’inoubliable Gene Kelly et le moins connu Stanley Donen. Un mastodonte du cinématographe tourné en technicolor et qui fit sauter dans les flaques d’eau plusieurs générations de cinéphiles. Pour ceux qui auraient manqué ce monstre du cinéma hollywoodien : l’histoire raconte avec humour et satire l’arrivée fracassante du cinéma parlant.

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Visuels : ©DR

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Pauline L'Huillier

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