Mort de Michael Jackson : les politiques rendent hommage à un « monument planétaire ».

Après les stars, les politiques aussi font part de leur émotion suite à la mort de Michael Jackson.

Tous rendent hommage à ce phénomène planétaire définitivement entré dans l’histoire de la musique.

Par la voix de Mitterand, le nouveau gouvernement nous a appris qu’« on a tous un peu de Michael Jackson en nous ». En le comparant à des icônes telles que James Dean, Marylin Monroe et Elvis, le nouveau ministre de la culture rend hommage à une « star universelle » qui était « le mouvement de la jeunesse ».

Sur Twitter, Laurent Wauquiez nous révèle ses « souvenirs pêle-mêle : la première vidéo de Thriller à 9 ans, la queue pour acheter Bad parmi les premiers, les essais pour faire le moonwalk».

L’UMP, par l’intermédiaire de son secrétaire général de la culture Renaud Donnedieu de Vabres, a déclaré dans un communiqué que Michael Jackson « restera un mythe vivant de la musique du 20e siècle [qui] a transmis à la jeunesse mondiale une énergie rare ».

Dans une vidéo du figaro.fr, François Fillon quant à lui admire un « monument » qui est « entré dans l’histoire de la musique » grâce à ses milliers d’albums vendus. Jack Lang a lui aussi repris cette image du « monument » et de la « star planétaire » qui « a révolutionné l’art de la scène, l’art de la musique » grâce à « une voix, une voix unique, une voix travaillée, retravaillée, qui s’est imposée très tôt ». Il ne cache pas son admiration pour celui qui était la « grâce-même ».

En Europe, David Miliband (ministre des affaires étrangères britannique) regrette que « jamais personne n’est monté si haut pour plonger ensuite si bas ». Avant de prier pour lui : « RIP Michael ».

Moins prolixes, la fondation Nelson Mandela regrette « la disparition prématurée de Michael Jackson » et le japonais Tsutomu Saro (ministre de l’intérieur et de la communication) se confie : « je suis triste, je le suivais depuis ses débuts dans les Jackson Five ».

En l’absence d’une réaction très attendue de Barack Obama, le porte-parole de la Maison Blanche résume l’émotion du président des Etats-Unis.  “Artiste spectaculaire, icône de la musique”, Michael Jackson aurait mené une vie dont “certains aspects étaient tristes et tragiques”.