Humour
Pascal Légitimus, rencontre avec un camé de la scène

Pascal Légitimus, rencontre avec un camé de la scène

13 September 2016 | PAR Charles Filhine-Trésarrieu

Depuis qu’il a découvert la scène et l’amour du public dans les années 1980, Pascal Légitimus n’a plus jamais voulu les quitter. En attendant un éventuel retour du trio mythique des Inconnus, idée qui ne semble pas lui déplaire, l’humoriste enchaîne les projets. Il présente en ce moment son spectacle Legitimus Incognitus au Grand Point Virgule et c’est pour nous le faire découvrir que nous l’avons retrouvé dans l’hôtel Le Pradey au centre de Paris. Il s’est confié sur ses projets, sa vision du monde politique et de l’humour  français en 2016. 

Toute La Culture : C’est assez impressionnant d’être en face de vous, je me rappelle qu’étant tout petit je voyais les adultes hilares devant vos sketchs à la télé…

Pascal Légitimus : Vous le mettrez bien dans votre papier ça !

TLC : Justement, est-ce que ça vous agace qu’on vous rappelle toujours votre passé avec les Inconnus et que ça vous suive comme ça ?

Pascal Légitimus : Comment peut-on être agacé de tant d’amour ? Ça fait maintenant plus de 25 ans déjà qu’on travaille ensemble, qu’on a fait des choses dans tous les domaines, surtout des choses qui ont fait du bien. En retour les gens nous le rendent donc ça ne peut pas m’agacer, il y a plutôt une fierté de faire partie de cette famille ! C’est pour ça que j’imprègne un peu mon spectacle, avec des allusions, de l’ADN des Inconnus. Et j’en ai moi-même donc les gens quant ils viennent me voir sur scène s’attendent à voir ce qu’ils connaissent. Évidemment il y a aussi beaucoup de choses nouvelles. Donc c’est agréable d’arriver dans un terrain conquis, qui n’est pas miné.

TLC : Dans toutes vos dernières collaborations on vous présente à chaque fois comme un guest, un invité, mais pourtant vous n’êtes jamais réellement sorti du paysage de l’humour français donc ne préféreriez-vous pas que l’on vous présente comme quelqu’un qui en fait encore partie à part entière ?

Pascal Légitimus : Je fais des guest parce qu’on me le demande et je choisis en fonction de ce qu’on me propose évidemment. Mais j’aime bien partager, avoir des aventures humaines avec plein de gens, alors qu’ils sont plus jeunes que moi mais je ne m’estime pas has been ou de l’ancienne génération. Je m’estime encore être un acteur actant, en train d’agir. Donc je fais simplement mon métier. J’ai toujours été comme ça, même quand j’étais moins connu. Je me suis toujours mélangé avec la population underground au niveau de la créativité et de l’humour. Quand j’ai rencontré Élie et Dieudonné en 89, ces deux petits gars m’ont plu donc je les ai mis en scène, j’ai écrit pour eux. Ensuite il y a eu Anthony Kavanagh qui débarquait de rien, qui était quand même célèbre dans son pays mais qui n’était pas connu en France. Donc moi c’était le mec qui m’intéressait. Je ne me suis pas dit : « Tiens je vais me faire de la thune ! » ou : « Tiens je vais prendre un coup de jeune parce que je suis vieux ! ». Non ce sont les aventures humaines qui me passionnent. Je choisis, j’ai beaucoup de demandes et j’en refuse beaucoup malgré tout. Mais je trouve ça très agréable d’être un peu en avance dans son temps et de mettre l’œil, mettre le doigt sur quelqu’un qui a du talent tout simplement.

TLC : On a pu vous voir dans quelques films ces dernières années mais quand on vous entend évoquer la scène on se demande si finalement ce n’est pas là que vous êtes le plus à l’aise ? Ou est-ce qu’au contraire vous pensez que maintenant vous travaillerez encore plus souvent pour le cinéma ?

Pascal Légitimus : En fait j’alterne en fonction du plaisir que cela peut me procurer, des propositions, des sujets et des histoires qu’on veut me faire raconter. Mais évidemment je privilégie avant tout la scène parce que la scène ce sont des sensations fortes, c’est du live, c’est du direct, du concret. On peut travailler tous les jours, on peut façonner son art, son personnage. Et c’est de la scène que je suis né. C’est vrai que le cinéma c’est agréable et la télé aussi mais c’est beaucoup plus technique, il y a beaucoup plus d’intermédiaires. Ce n’est pas pour rien qu’on l’appelle le septième art, avec les maquilleuses, les lumières… On attend des heures pour tourner une scène de deux minutes. C’est une autre énergie. La scène c’est du direct, on est imprégné tout de suite par les échos et la vibration du public. Même s’il y a du challenge, c’est plus complexe je dirais mais moi j’adore ça. C’est pour ça que j’avais envie de revenir sur scène et c’est parce que j’ai des choses à dire que je fais un one man show. Le précédent spectacle c’était plutôt un seul en scène, plus théâtral avec de l’émotion et de l’humour. Mais là c’est du rire toutes les 45 secondes, c’est du 110%. Sur des sujets qui me taraudent, qui me titillent, qui m’énervent, qui me chatouillent. Des sujets forts, universels, et surtout avec des personnages. D’où l’ADN des Inconnus, parce que j’adore faire des personnages. Donc il y a un peu de stand up mais surtout tout le temps je me transforme : un geste, une voix, une attitude et c’est en cela que les gens me reconnaissent et apprécie mon travail je pense.

TLC : Parmi les multiples thèmes de votre spectacle, il y en a beaucoup qui sont liés à l’actualité. Est-ce que cette prise de risque, de parler de choses qui peuvent être un peu touchy pour certains, est une chose que vous assumez complètement ? Selon vous un humoriste doit-il avoir ses convictions et parler des choses qui lui plaisent quitte à ce que ça ne plaise pas à tout le monde ?

Pascal Légitimus : On ne peut pas plaire à tout le monde, ça c’est sûr. Je ne suis pas là pour fayotter ou pour essayer de rameuter le plus grand nombre, non. Je m’exprime moi parce que j’ai des choses à dire qui me sont propres, dans mon univers, dans mon style. C’est mon point de vue, celui de Pascal Legitimus, avec une forme que les gens connaissent, c’est à dire l’acteur qui interprète des personnages dans des situations de la vie de tous les jours. Mais les thèmes que j’aborde, comme je l’ai dit tout-à-l’heure, sont des thèmes qui sont certes contemporains et à la fois universels mais que moi, en tant que citoyen et consommateur, je consomme. À un moment donné il faut que ça sorte, il faut que je m’exprime. C’est pour ça que j’ai choisi la scène. Un peu comme des personnes qui se réunissent dans un dîner et puis chacun donne un peu son lot de convictions, de réflexions autour d’une thématique… En ce moment c’est la peur, les phobies… Sachant qu’on est dans une période où il n’y a pas eu de guerre en France depuis 39-45. On est dans une espèce de béatitude, c’est paisible. Et c’est parce qu’on est dans cet état d’euphorie que tout d’un coup il y a un grain de sable qui vient d’ailleurs qui vient nous percuter et nous faire comprendre que notre bonheur est fragile. Évidemment je pense que je ne suis pas obligé d’en parler mais moi comme beaucoup de gens j’ai envie de m’exprimer. Je l’exprime à travers un sketch ou deux. C’est pour ça que je parle des peurs. Moi ça me fait déjà du bien à moi-même et ensuite les gens depuis six mois que je joue ce spectacle le ressentent plutôt bien. C’est comme un bouton : on appuie sur le pu pour que ça sorte ! Je pense que l’humour sert un peu à ça au contraire. Je suis allé jouer en Tunisie il n’y a pas très longtemps et les gens m’ont dit, les journalistes : « Alors ça ne vous a pas fait peur de venir en Tunisie ? Vous n’avez pas eu peur de venir chez nous ? Parce que beaucoup d’artistes n’ont pas voulu venir ! » et j’ai dit : « Je n’y ai même pas pensé ! Je suis venu pour partager avec vous, vous faire marrer, au contraire. ». Si à chaque fois qu’il y a un problème on recule, c’est une espèce de lâcheté artistique et on n’est plus à notre place. Non notre devoir c’est comme quant un bateau coule, c’est d’être le capitaine et d’être le dernier à partir. Ce n’est pas du courage, je crois que c’est une conviction certaine que je me sens utile en faisant ce métier là, depuis tout le temps. Nous les sketchs des Inconnus qui ont été édités sont des sketchs qui avaient du fond et de la forme mais avec des sujets qui nous-mêmes nous concernaient. C’était notre point de vue. Tandis que là je suis tout seul sur scène mais on a l’impression que je suis plusieurs, c’est ça qui est sympa. Alors en attendant que les Inconnus se reforment – je ne sais pas quand, même si la question va arriver je ne peux pas répondre – moi j’ai envie de jouer, j’ai envie de m’éclater, de faire rire les gens, j’ai écrit ce spectacle là.

TLC : Vous pensez que le rôle des humoristes a changé ces dernières années en France ?

Pascal Légitimus : Ce n’est pas qu’il a changé, c’est qu’il y a beaucoup plus d’humoristes : plus de femmes, plus d’hommes et surtout plus de one man. Je regrette qu’il n’y ait pas plus de groupes et de troupes. En même temps on ne voit que ceux qui sont le plus médiatisés mais en France il y a beaucoup d’humoristes, de gens qui sont drôles. Moi je connais des clowns, je connais des musiciens… Il y a aussi les Franglaises : cette troupe qui sont quatorze ou quinze sur scène et qui font de la musique , qui font des tubes en franglais, c’est très drôle ! Il y a beaucoup de gens que nous ne connaissons pas qui ne sont pas en première ligne médiatique mais qui contentent les 67 millions de Français. Combien de gens connaissent Laurent Barrat par exemple, un mec qui vient de débarquer il y a deux ans, un type dont je fais la mise-en-scène ? Pas beaucoup et pourtant ce mec là cartonne de plus en plus ! Il y a beaucoup d’humoristes, dans tous les domaines, et moi je trouve ça super que les gens s’expriment. Alors en même temps il y a un peu d’ego. Un peu comme footballeur qui est la profession qui est en ligne de mire, avant il y avait chanteur, comédien et maintenant c’est : « Je vais faire du one man ». Oui mais one man c’est un métier à un moment donné. Ce n’est pas parce que tu fais rire dans ton salon Tata Michelle et Tonton Robert que tu vas forcément être un comique. Non, c’est un métier. Après avec le temps les gens s’égrainent, il y a l’entonnoir, et ne restent que les meilleurs. Mais je trouve qu’il y a des gens fabuleux ces temps-ci, qui ont plein de choses à dire, avec leur manière, leur style, et c’est bien. Alors il y a Sylvie Joly qui est partie, il y a des gens qui nous quittent, mais le cheptel se renouvelle. Moi ils me font tous marrer comme je le disais tout-à-l’heure, ils me font tous rire. Après c’est peut-être que certains ont moins de sens dans leur spectacle que d’autres et j’ai une préférence pour les spectacles qui ont du sens. Je vais à Avignon, il y a quoi 400 spectacles ? Les deux tiers c’est des humoristes. Il y a des trucs incroyables, il y a à boire et à manger, mais il faut prendre ça au second degré.

TLC : Essayer de trouver et d’aider des nouveaux talents, comme à l’époque Anthony Kavanagh ou Élie Semoun, c’est quelque chose qui vous tient encore à cœur aujourd’hui ?

Pascal Légitimus : Ce n’est pas que ça me tient à cœur : ce sont ces gens là qui viennent me voir. Ce n’est pas moi qui fait la démarche, je ne les connais pas. Et dans cette démarche là je choisis, un peu comme dans un rayon de supermarché, je choisis les gens avec qui j’ai une affinité, avec qui je sens qu’il va se passer un truc et aussi à qui je peux apporter, des gens que je peux aider, entourer, choyer, élever. Je peux mettre mon ego sur le bas de la route. Se mettre « au service de » c’est très agréable. D’accompagner quelqu’un, de fabriquer, d’architecturer, de construire un spectacle, de voir germer un artiste je trouve ça très agréable. Donc de temps en temps… Alors là en ce moment j’ai Laurent Barrat, j’ai Christophe Fluder, qui est un homme de petite taille qui va débarquer là qui est une vraie bombasse, Alain Bernard qui est un ancien pianiste de Smaïn, qui joue un prof de musique, qui est un musicien exceptionnel et qui va jouer à l’Alambra, et une fille qui s’appelle Zoé, qui est une artiste belge chanteuse avec des chansons humoristiques. Donc voilà j’ai quatre ou cinq personnes que j’accompagne depuis deux ans. Mais je m’occupe de plus en plus de moi évidemment, c’est pour ça que je suis monotâche avec ce spectacle là, que je compte jouer très longtemps, parce que j’ai envie qu’un maximum de français le voient.

TLC : Vous parlez des soucis d’ego dans le métier mais jouer une série de personnages, qui ne sont pas complètement vous, n’est-ce pas une sorte de pudeur dans votre cas ?

Pascal Légitimus : Alors pour être franc avec vous cher Monsieur c’est que ça ne m’intéresse pas et ça m’ennuie d’être au naturel. Me jouer moi-même tel que je suis, Pascal Legitimus, ça me… (soupir appuyé)

TLC : Pourquoi pas ? Pourquoi seriez-vous moins intéressant que d’autres finalement ?

Pascal Légitimus : Ce n’est pas que je ne suis pas intéressant, c’est que moi ça ne m’intéresse pas. La vibration qui émane de moi quand je suis naturel, en tant qu’acteur et personnage, ne m’intéresse pas. Plus je suis loin de moi, plus je joue des personnages, plus je suis transformé physiquement, avec un geste, une attitude, une parole, une intonation dans mon spectacle et plus ça me fait rire et ça me ravit. J’ai toujours été comme ça, j’ai toujours été un peu clown et j’ai toujours aimé imiter, être caméléon. C’est en cela que je suis performant, c’est quand je prends l’accent arabe ou quand je fais un snob que ça m’amuse. C’est ce que je faisais au sein des Inconnus et je continue mais tout seul. C’est mon credo, mon ADN. Et c’est la force de mon spectacle, sans être prétentieux. C’est ce que je dis souvent : la particularité de ce spectacle c’est que tous les sketchs que j’aborde sont abordés avec une forme originale. C’est ça qui fait le truc. « Ah ouais on n’y avait pas pensé ! » C’est vrai que nous les humoristes on aborde tous les mêmes thèmes, chacun avec son style, ses mots et ses intonations mais moi c’est vraiment la forme. Je parle de l’infidélité à un moment en mettant ensemble le spermatozoïde de l’amant et celui du légitime, qui se bastonnent tous les deux. C’est une manière de parler de l’infidélité : je fait deux spermatozoïdes. Je parle du racisme des pigeons, parce que les pigeons sont sales, ils mangent notre pain et ils se reproduisent. Il y a une espèce de métaphore comme ça.

TLC : Donc votre personnage du bourgeois qui déteste les pigeons, c’est un sketch sur le racisme !

Pascal Légitimus : Voilà !

TLC : Vous faites aussi des personnages plus politiques, je pense à votre interprétation du politique cumulard par exemple. Est-ce que vous avez envie de réagir par rapport à la politique française en particulier ?

Pascal Légitimus : La politique française… On est tous d’accord pour dire qu’il y a un problème de toute façon et chacun l’exprime à sa manière. Il y a des caricaturistes dans les journaux qui font des petits dessins sympas, il y a des guignols, des chansonniers qui tous les soirs balancent des vannes, dont des gens qui font ça mieux que moi. Mais moi de temps en temps j’ai une idée. Alors j’ai eu l’idée de ce petit truc qui dure deux minutes : j’interprète ce personnage parce que c’est un truc qui m’énervait alors je l’exprime à travers ce personnage. Et quand je parle du Moyen-Orient il y a encore un personnage. Il y a l’idée et après c’est quand je trouve le personnage que je peux y aller. Mais au départ c’est juste un truc qui m’énerve comme ça. Parler de politique je peux le faire mais il y a des gens qui le font mieux que moi et j’ai du mal à m’engager dans cette voie là parce que c’est toujours un peu touchy un peu dangereux. Vous émettez une opinion et tout de suite on vous attaque on vous défonce, surtout sur le net en ce moment. Le net c’est un ramassis de fiel et dès que tu te dévoiles un peu sur ce que tu penses ou ce que tu es c’est très compliqué. Après on va dire : « Ouais tu es un lâche ! Tu n’oses pas ! », c’est l’inverse quand tu dis rien. Oui effectivement je préfère ne rien dire en tant que citoyen mais je préfère m’exprimer à travers mon art. Là oui j’y vais, je balance. Alors on peut me traiter de n’importe quoi mais en tout cas on ne peut pas me taxer de ne pas réagir en tant qu’humoriste, parce que dans mon spectacle il y a du biscuit. Comme quant on a fait ce sketch, cette chanson, « Les vampires, les rapetous », sur tout ce qu’on paye. C’est drôle mais en même temps il y a des vérités dedans. Mais c’est la forme qui fait que c’est original : ce sont des vampires qui sucent l’argent. C’est là l’idée. La bonne idée est là. Après dire tout ce qu’on paye c’est juste une énumération : « Taxe foncière, taxe immobilière… », ce n’est pas drôle. Donc je continue moi dans cet ADN : la forme. Je me creuse la tête pour trouver des idées originales et là j’y vais, parce que j’ai un pare-feu qui est le personnage. Coluche était comme ça. Il avait un personnage un peu titi parisien, gouailleur, il jouait le beauf. Mais si c’était Coluche qui parlait en son nom alors là c’était terrible.

TLC : Donc vous allez sur ces sujets parce que vous en avez envie et pas parce que vous vous sentez obligé ou que vous sentez qu’on vous attend au tournant ?

Pascal Légitimus : Non non je ne suis obligé de rien. Je ne me force pas. Je m’exprime, comme un volcan, c’est éruptif il faut que ça sorte. Il y a un moment donné les testicules sont pleines, il faut que ça sorte. À un moment donné qu’est-ce qu’on fait ? « Chérie, faisons l’amour ! » et je fais l’amour avec le public. Tous les soirs je suis là dans le public, il y a plusieurs coïts. On s’éclate, il y a une jouissance mutuelle. Quant on a goûté à ça on ne s’arrête pas Monsieur ! C’est jouissif. Mathilda May quant elle a joué avec moi dans Et plus si affinité, elle a découvert ce que c’était que l’humour sur scène : « Ça y est je suis camée ! ». C’est génial d’entendre les gens rire quand tu balances des conneries (intelligentes).

TLC : En parlant du théâtre, vous avez d’autre projets ?

Pascal Légitimus : Je pense que la prochaine fois que je monterai sur scène ce sera une pièce de théâtre. Pour varier les plaisirs.

TLC : Vous savez déjà avec qui ?

Pascal Légitimus : Je suis en train de finir la pièce. J’ai déjà un metteur en scène, qui s’appelle Benoît Lavigne, et pour l’instant ça s’arrête là. Mais je sais déjà ce que je vais faire.

TLC : Est-ce votre principal projet après le spectacle ou vous avez autre chose sur le feu ?

Pascal Légitimus : En tant qu’acteur je pense que je vais faire un film ou deux, un téléfilm ou deux, des choses comme ça. Je vais réduire les mises en scène parce que ça prend du temps et maintenant j’essaie d’être monotâche, concentré sur ce spectacle où je m’éclate tous les soirs. Venez le voir !

Visuel : DR

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