The Libertines is back
Le groupe le plus déjanté que l’Angleterre ait pu produire se reforme. En effet Pete Doherty et Carl Barât reconstituent le groupe.
A l’origine de l’éclatement de ce joyau de la couronne se trouvent les frasques de Doherty et ses problèmes de drogue qui avaient pourtant contribué à la renommée de la formation façon « Sex, Drugs and Rock’n’Roll ». On se souvient surtout des titres Can’t Stand Me Now et Up The Bracket qui auront marqué à jamais le style rock pop anglais.
Pete Doherty s’était embarqué sur le navire Babyshambles pendant quelques temps produisant des songs caractéristiques à son style tels que Carry On Up The Morning ou encore French Dog Blues qu’on croirait sorti tout droit des faubourgs de Londres. Ayant déjà flirté entre punk et rock, Doherty continue sa traversée du désert loin de son pote Carl Barât avec une carrière solo où il est plus sombre et plus calme (Last of The English Roses). Malheureusement, il fut plus connu ces dernières années pour ses addictions et ses relations avec Kate Moss que pour sa musique.
Les deux jeunes de Liverpool se retrouvent donc pour le meilleur comme pour le pire. La question qui subsiste et persiste est : combien de temps avant qu’une énième intervention de Pete pousse ses membres à tenter de le tuer ? On a pourtant hâte de voir ces deux phénomènes inspirés par les Clash sur une même scène, les premiers concerts pour se remettre en jambe, les festivals de Reading, de Leeds ainsi qu’une apparition au forum de Londres.
Aller une petite pour la route !
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One thought on “The Libertines is back”
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Mike
Salut Tristan. “Groupe le plus déjanté” c’est quand même très exagéré… Pour moi, dans la scène anglaise, Throbbing Gristle me semble avoir la palme. A côté, les Libertines ce sont de gentils étudiants turbulents & défoncés.