Classique
Agenda classique et lyrique de la semaine du 28 janvier 2020

Agenda classique et lyrique de la semaine du 28 janvier 2020

29 January 2020 | PAR Victoria Okada

Les rédacteurs de Toutelaculture vous présentent  leur sélection de la semaine pour les concerts classiques et lyriques .

par Victoria Okada, Paul Fourier

Mardi 28 janvier

12h30 au Théâtre du Châtelet, à son déjeuner concert, l’Orchestre de Chambre de Paris présente des œuvres de Debussy et de Bruno Mantovani sous la direction de ce dernier, avec Marcel Cara à l’harpe.

20h à l’Auditorium de Radio France, trop rare en France, le pianiste Sergei Babayan revient à la Maison de la Radio un an après le grand succès de son récital au même lieu. Cette fois, il joue Pärt, Liszt, Ryabov, Bach et Rameau.

20h, la jeune et talentueuse soprano Elsa Dreisig est au théâtre des Champs-Élysées pour des mélodies de Rachmaninov et Duparc et les très beaux Quatre Derniers Lieder de Richard Strauss. Précipitez vous-y ! Il reste des places dans toutes les catégories. On retrouvera, par ailleurs, la même artistes dans le même programme à l’Opéra de Bordeaux le 30 à 20h.

20h30 à la Philharmonie, Riccardo Chailly sera à la tête de la Filarmonica della Scala-Milan dans Les Tableaux d’une exposition et le Concerto pour violon de Beethoven Renaud Capuçon.

Mercredi 29 janvier

20h, la production de Laurent Pelly du Barbier de Séville de Rossini débarque à l’Opéra de Tours pour trois représentations.

20h, Le Démon, opéra très peu connu en France, composé par Anton Rubinstein et qui fut l’un des opéras les plus joués en Russie à la fin du XIXe siècle arrive à l’Opéra de Bordeaux  sous la baguette  de Paul Daniel.

20h, l’opéra de Joël Pommerat, L’inondation, arrive à l’Opéra d’Angers.

20h30, à la Cité de la musique, l’Ensemble intercontemporain sera dirigé par Mathias Pintscher (Wabern, Pintscher, Saariaho, Abrahamsen).

Du mercredi 29 janvier au dimanche 2 février

C’est La Folle Journée de Nantes ! Cette année, grandes fêtes dédiées à Beethoven, pour le 250e anniversaire de sa naissance. Le piano et les jeunes interprètes sont particulièrement mis en avant, avec l’intégrale des 32 sonates pour piano par plusieurs pianistes, présents pour la première fois à l’événement. Mais de musique de chambre jusqu’au grand orchestre, y compris le clavecin (pour les œuvres de première jeunesse du compositeur), toutes les formations sont là. De quoi régaler tout le monde ! Informations et réservations se trouvent ici.

Jeudi 30 janvier

20h30 à la Salle Gaveau, Vox Luminis (direction Lionel Meunier) présente une grande rareté : cantate La descente d’Orphée aux Enfers de Marc-Antoine Charpentier. Avec l’inégalable Reinoud van Mechelen (ténor).

Jeudi 30 et vendredi 31 janvier

20h au Théâtre des Champs-Elysées, la grande dame de piano Elisabeth Leonskaja donne des Schubertiades. La soirée du 30 sera consacrée aux trios alors que le vendredi, ce sont les quintettes que l’on apprécie.

Vendredi 31 janvier

À 20h, à l’Opéra National de Lorraine, c’est la première représentation des Noces de Figaro de Mozart mis en scène par le grand réalisateur de cinéma James Gray (avec Huw Montague Rendall, Adriana Gonzalez, Mikhail Timoshenko…).

À 20h (et aussi le 2 et le 4), le rare Don Quichotte de Massenet sera à l’affiche de l’Opéra de Saint-Étienne.

Samedi 1er février

À 20h, au théâtre des Champs-Élysées, Haydn et sa Création seront interprétés par l’Orchestre des Champs-Elysées, le Collegium Vocale Gent (Philippe Herreweghe directionDimanche 2 février

Lundi 3 février

À 20h, le théâtre des Champs-Élysées célèbre Beethoven, sa Messe en ut et sa Missa solemnis (direction : Thomas Hengelbrock).

Pas loin de chez nous :

La version française du magnifique Don Carlos de Verdi sera jouée à l’Opéra Royal de Wallonie à Liège avec une très belle distribution (Gregory Kunde, Yolanda Auyanet, Ildebrando d’Arcangelo, Kate Aldrich, Lionel Lhote, Roberto Scianduzzi…), dans une mise en scène de Stefano Mazzonis di Pralafera et sous la baguette de Paolo Arrivabeni.

visuel : affiche de la Folle Journée

 

UN SAMEDI AUX RENCONTRES DU FILM D’ART DE SAINT GAUDENS : Un voyage auprès d’artistes éternels
Guyette Lyr : “Lui à deux pas de moi” Ou l’éloge de la paternité.
Victoria Okada

Publier un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.

Your email address will not be published. Required fields are marked *


Soutenez Toute La Culture
Registration