
La playlist de la bifurcation
On repeint la chambre mieux on la transforme avec YelloStraps, Turtie White, The Blaze, Muet et Mattéo.
Path (feat. Franck Lebon) — Mattéo& Bro
Admettons que ça démarre avec le chaos de l’enfance, l’irresponsabilité contenue par la montée en puissance de l’envie d’en être, de bel et bien commencer. Certes, le costume est bizarre, mais on va s’habituer.
Pousse-toi — Turtie White
Admettons que l’on tourne un peu au gauche et puis un peu à droite, vroum vroum, quoi qu’il arrive il faudrait que tu bouges cette fois, que tu avances alors pousse-toi, vite, que je m’y mettre.
Eyes — The Blaze
Admettons que tout le monde se calme, que l’on prenne le temps de réfléchir. On va d’abord bien décomposer tous les mouvements pour voir ce qu’il s’est vraiment passé. Et puis après on fera avec n’est-ce pas ; the audience is listening; le spectacle va (re)commencer.
Tnght — Yellowstraps
Admettons que l’on bifurque alors ; le chemin est obscur, on s’y emmêle les pinceaux et d’un coup, zou, la lumière surprend tout le monde à la faveur d’un événement heureux. On va y croire tout bêtement, parce qu’il n’y a pas vraiment d’autres issues.
Mille mots — Muet
Admettons que l’on y mette les formes, que l’on fasse rimer les moindres racines, pour éclairer enfin, disons pour grossir, mieux voir ce qu’il y a à voir. Des mots à la volée, est-ce que ça pourrait aider ? Est-ce que l’on pourrait monter quelque d’un peu convivial, d’un peu pâtissier ? On va attendre la semaine prochaine ; là qu’est-ce qu’on en retient ? Pas encore la bifurcation idéale.