
Talent à suivre : Hannah Cohen au Divan du monde le 6 septembre
A découvrir d’urgence : la voix mélancolique et accrocheuse que cachait le joli minois du mannequin Hannah Cohen. Son premier album, “Child bride”(Bella Union Records) est produit par Thomas Bartlett (Athony and the Johnson) et truffé de jolie mélodies mélancoliques. Hannah Cohen est à découvrir le 6 septembre prochain en live sur la scène du Divan du monde.
Née dans un milieu arty (son grand-père, Thomas, était poète et ami de Dylan), la jeune anglaise d’adoption new-yorkaise est tombée dans le mannequinat qui lui a permis de prêter sa moue quasi “Lana del reyienne” aux plus grands photographes.
En avril dernier, l’Amérique découvre la voix derrière le visage parfaitement symétrique ; timbre délicat à la Julia Stone (également produite par Thomas Bartlett), avec un grain un peu brisé pour le lester. Le résultat? Dix chansons entre pop et folk, aux textes et airs mélancoliques et aux arrangements de guitare raffinés pris en charge par des musiciens chevronnés : Sam Amidon, Rob Moose (Bon Iver, Antony and the Johnsons), Brad Albetta (producteur de Martha Wainwright et Teddy Thompson), Doug Wieselman (Laurie Anderson), Kenny Wollesen (John Zorn, Bill Frisell) et au son, Patrick Dillett (Mary J. Blige, Mariah Carey).
Dans un esprit “less is more” complétement hanté, la belle chante une rupture douloureuse dans un premier single, “Don’t say” qui met en lumière et en noir et blanc son superbe visage (voir ci-dessous).
Lien Deezer vers l’album “Child Bride”.
Visuel extrait de la Page Fan facebook de l’artiste.