Exposition : Olukman / Bouteiller / Le Constant / Patboun / Levinstein / Kracov / Fazzino
La galerie Alain Daudet accueille Ayline Olukman, Cédric Bouteiller, Laurence le Constant, Patboun, Dorit Levinstein, David Kracov et Charles Fazzino dans le cadre d’une exposition exceptionnelle qui se déroulera du 6 décembre au 12 janvier 2013.
Autour d’un verre de vin et des cupcakes sucrés et salés de Cup’n’Cakes, venez découvrir ces artistes singuliers pour le plaisir des yeux et de papilles à l’occasion du vernissage jeudi 6 décembre à partir de 18h.
Artistes d’aujourd’hui, Cédric Bouteiller et Ayline Olukman, nous font découvrir avec habileté et passion leurs visions du monde.
Créateur d’un pont technique et affectif entre la peinture et la photographie, Cédric Bouteiller associe aux immeubles New-Yorkais et Tokyoïtes des profils féminins, des graffitis ou encore des collages d’affiches. En parallèle, s’inspirant de différents environnements urbains, l’artiste se confronte au Street-Art et se projette depuis son atelier jusque dans la rue, peignant à même le mur pour créer des oeuvres rythmées, morcelées et pensées dans l’instant, dans l’urgence et la violence d’une quête d’immédiateté.
Ayline Olukman qui a également puisé son inspiration dans différents environnements urbains,
offre désormais, au travers d’une technique mêlant la peinture la photographie ou encore le collage; des portraits de femmes en situation dont le regard doux capte un instant d’absence impalpable qui rappelle la stoïcité de ses paysages urbains.
Avec leurs oeuvres minutieuses et ludiques David Kracov, Charles Fazzino et Dorit Levistein exercent leur créativité en filiation direct du Pop Art.
Chacun à sa manière, Kracov et Fazzino s’expriment en trois dimensions et jouent avec les volumes afin de créer des oeuvres empruntes de gaîté et de poésie.
Dorit Levinstein se joint à eux, dans une recherche de démocratisation de la sculpture, avec des bronzes entièrement peints à la main qui ne sont pas sans rappeler les Nanas de Niki de Saint Phalle.
Avec Laurence le Constant et Patboun c’est le thème de la vanité qui est abordé.
Laurence le Constant aborde cette catégorie particulière
de nature morte en apposant différentes plumes d’oiseaux sur des crânes, apportant douceur, fragilité et beauté à ce symbole du caractère transitoire de la vie humaine.
Patboun, quant à lui, assemble, colle, mixe des objets de la vie de tous les jours à des crânes, leur apportant une seconde jeunesse et créant ainsi un parallèle évident entre passé, présent et avenir.