Gagnez vos places : Elie Chouraqui présente le concert du vivre ensemble le 11 octobre à l’Alambra
Toutelaculture.com vous offre 10×2 places. Pour gagner, laissez votre nom en commentaire. Les dix premiers auront deux billets qui les attendront à l’accueil. Bonne chance !
L’Union des Étudiants Juifs de France et SOS Racisme Sous l’égide de Beit Esther – FJF organisent Le concert du Vivre Ensemble, une Soirée Soirée musicale interculturelle. Présentée par Elie Chouraqui A l’Alhambra le Mardi 11 Octobre 2011 à 20h00
De Paris à Jérusalem, proposer une soirée musicale de partage à travers les cultures. Du Gospel au Jazz, de l’Oratorio à l’Oriental, Pour promouvoir le Vivre Ensemble et la Paix. Pour lutter contre les préjugés.
L’association Beth Esther agit en faveur de la médiation interculturelle en Israël. Son fondateur Henri Cohen Solal nous raconte l’esprit de ce programme : « Cette soirée vise à développer des relations entre paris et Jérusalem, Paris a une place de médiateur entre palestiniens et israéliens. C’est l’occasion de trouver un support chaleureux quand nous avons un besoin de vivre ensemble palestiniens et israéliens » (..) c’est l’occasion aussi pour les jeunes des quartiers de les dégager d’une position manichéenne dans laquelle ils peuvent êtres figés des deux côtés. »
Les artistes vont sur scène représenter la diversité culturelle. L’Oratorio pour la Paix, rassemblera 50 choristes dirigés par John Meldrum défiant les frontières entre la musique classique et la musique populaire en mettant des chansons d’influences pop, world et gospel dans une forme classique, l’oratorio.Le groupe constitué de Cinq musiciens aux univers bien différents nous propulsent dans des destinations lointaines au gré de la musique klezmer, avec des influences allant du rock au jazz, passant aussi par le folklore islandais.Enfin, Marlene Samoun et Rachid Brahim Djelloul et Olivier Hutman, formeront un trio judéo-arabe de Cordoue à Istanbul, de Tétouan à Salonique et au sud profond des Etats-Unis, partout où les hommes rêvent, souffrent, aiment, s’exilent et travaillent, se composent des mélodies de réjouissance ou de tristesse.
Henri Cohen Solal conclut :”Plus l’imaginaire nous envahit sur le terrain moins nous avons les capacités de traiter des questions telle que celle des réfugiés ou du partage de l’eau. On travaille, et cette soirée en fait partie pour la lutte contre les préjugés.”