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Agenda des soirées de mars

Agenda des soirées de mars

28 February 2019 | PAR Rodolphe Pete

Voici une sélection subjective, forcément incomplète mais fondée sur des coups de cœur, de soirées à Paris et en régions pour un début de printemps forcément électro !

Rodolphe Peté

Coups de cœur

Samedi 9 mars, Speedy J, l’Ostra club, Nancy

Pour son anniversaire, le club lorrain a mis les petits plats dans les grands en accueillant pas moins qu’une des légendes de la techno, celle des débuts, quand dans les années 90, on entendait des classiques comme « Pull Over ». Jochem Paap a ralenti le rythme depuis, mais a gardé une intégrité qui en fait toujours un producteur à suivre sur le circuit international. Avec aussi The Invaders, Alex Rook et Steveen B.

Pratique : 15 euros, à partir de minuit, 34 boulevard d’Austrasie.

Samedi 9 mars, Moodymann et Gilles Peterson, Chez Gustave, Paris

Entre un sélector exceptionnel qui sait comme personne combiner les styles les plus divers, du rock de Nirvana à la pop des Beatles, en passant par la house la plus chaleureuse, et le maître de cérémonie du festival Worldwide, l’été à Sète, également responsable de superbes compilations où le métissage musical prend tout son sens, cette soirée s’annonce comme un pur bonheur à déguster sans aucune modération.

Pratique : 20 à 30 euros, 46 rue Cambon, Paris I, à partir de 23 h 30.

Samedi 9 mars, Tsugi superclub, Jeff Mills, le Trabendo, Paris

The Wizard en personne ! Voilà près de trois décennies que le magicien des platines, rendu immortel par son « Live at the Liquid Room » et quelques classique comme « The Bells » ou « Step to Enchantment » parcours le monde entier afin de délivrer la bonne parole techno. Spatial parfois dans ses productions, l’Américain ne fait jamais dans la dentelle en mix. Tant mieux. Avec aussi le Parisien DJ Deep, figure des nuits de l’Hexagone et bien au-delà depuis un quart de siècle.

Pratique : à partir de minuit, 19 euros, 211 avenue Jean-Jaurès, Paris XIX.

Jeudi 14 mars, Le Pulp est mort, vive le Pulp, Rosa Bonheur, Paris

Adresse phare des grands boulevards dans les années 90, le Pulp a rendu nostalgiques les amateurs de soirées ouvertes et tolérantes qui ont vu débuter certains artistes devenus aujourd’hui célèbres. C’est le cas notamment de Cholé et Ivan Smagghe qui, l’espace d’une courte soirée, feront revivre cette belle page de la nuit parisienne. Cette guinguette, au charme certain et à l’accueil incomparable, s’avère l’endroit rêvé pour un tel événement ouvert à toutes et à tous.

Pratique : 20 h-minuit, parc des Buttes-Chaumont, 2 allée de la Cascade, Paris XIX.

Vendredi 15 mars, B Trax the Last, Rex club, Paris

Gregor Tresher, Orlando Voorn. Avec aussi Meda, Rob Malone et Ben Men. Une page se tourne pour cette résidence (devenue annuelle) du label et feu magasin de la rue d’Hauteville toute proche. Pour Ben Men et son équipe, l’aventure se poursuivra mais ailleurs. The show must go on, comme on dit. En attendant, place à une fête techno qui restera assurément dans toutes les mémoires des participants.

Pratique :5, boulevard Poissonnière, Paris X, à partir de minuit. 12 à 15 euros.

Samedi 16 mars, Zenzile, l’Elysée Montmartre, Paris

Plus de vingt ans de carrière, onze albums, une continuité d’inspiration sans fausse note. Pas de doute, le groupe angevin a su donner au dub français ses lettres de noblesse et montrer que dans l’Hexagone, on pouvait tenir la distance et le rythme par rapport aux aînés de Jamaïque, sans se contenter de les copier ou de s’en inspirer. Le concert parisien sera ainsi l’occasion de vérifier, pour ceux qui en douteraient, le potentiel en live de ces vétérans encore bien verts ! Avec aussi Brain Damage.

Pratique à partir de 18 h 30, 25 euros, 72 boulevard de Rochechouart, Paris XVIII.

Samedi 16 mars, Nuit de la filature, Lille

Avec Lil Louis, The Black Madonna, Purple Disco Machine, Yuksek, Antigone, Sama, Hugo LX, Pouvoir Magique, Blutch, Azur, Pain Surprise Records, Supagroovalistic. Avec un tel programme, difficile de ne pas se réchauffer sur le dancefloor. Un programme éclectique à souhait, entre une légende de la house américaine, une dj qui est devenue une référence grâce à ses mixes éblouissants, un producteur rémois parti à la conquête du monde et d’autres artistes qui ne manqueront pas de surprendre.

Pratique : de 29 à 55 euros, 70 rue Félix-Faure, Saint-André-lez-Lille, à partir de 23 h.

Dimanche 24 mars, Laurent Garnier, Rex club, Paris

Le « Patron » dans sa maison, celle qu’il a contribué à faire briller depuis plus de deux décennies, avec laquelle il a tissé tant de liens au cours de résidences all night long qui ont forgé une réputation planétaire. Laurent Garnier dans la cabine du Rex, c’est non seulement la certitude de voyager en première classe au son d’un set pointu et éclectique, mais aussi l’assurance de repartir après avoir vécu une expérience unique, même quand elle est recommencée… Avec aussi S3A.

Pratique : 5, boulevard Poissonnière, Paris X, à partir de minuit. 20 à 25 euros.

Soirées

Vendredi 1er mars, Max Cooper all night long, Rex club, Paris

Parce qu’il a fait des études scientifiques, l’Irlandais a une réputation d’intellectuel dans le milieu qui en ferait une sorte de professeur aussi rêveur que compliqué. Mais depuis son arrivée sur le circuit il y a une dizaine d’années, avec ces lives et ses morceaux qui puisent autant dans la techno que l’electronica, Max Cooper fait fi de cette image pour proposer, en live comme une mix, une vision personnelle et profonde de la musique avec une palette d’émotions à faire frisonner le plus insensible des êtres…

Pratique :5, boulevard Poissonnière, Paris X, à partir de minuit. 12 à 15 euros.

Vendredi 1er mars, Shonky, Kwartz club, Nice

S’il vient sans ses camarades d’Apollonia (avec qui il était passé l’été dernier dans le théâtre de Verdure), Shonky mérite à lui seul aussi le déplacement. Discret sur la scène française, il n’en est pas moins un acteur important dans le mix et la production d’une scène hexagonale qui fait désormais les beaux jours des clubs et festivals majeurs de la planète. Notamment à Ibiza, où le trio s’épanouit comme dans son jardin. Avec aussi Morning Glory.

Pratique : à partir de minuit, 2 rue Bréa. De 10 à 15 euros.

Vendredi 1er mars, Concilio VI, Fumiya Tanaka, I Boat, Bordeaux

Maître de la techno japonaise, Fumiya Tanaka n’est pas un inconnu en France où il a toujours pu compter sur l’accueil généreux des artistes comme du public. Il faut dire que ses compositions parfaitement construites et originales l’ont très vitre fait remarquer, avec un sens de la minimale qui a fait les beaux jours du label Torema. Ce pionnier des années 90, loin d’être has been, continue d’être passionnant. Avec aussi DJ Masda.

Pratique : 12,50 euros, à partir de minuit, quai Armand Lalande.

Samedi 2 mars, Arnaud Rebotini, le Bikini, Toulouse

Auréolé de son César 2018 pour la musique de « 120 battements par minute », le colosse moustachu, collectionneur de claviers, chanteur et pilier de Black Strobe, a bénéficié depuis un an d’un nouvel élan, davantage grand public, tout en gardant son axe de conduite, fondée sur une techno puissante, taillée pour le live et aussi généreuse que ce producteur passionnant. Avec aussi Onyvaa et Molécule.

Pratique : 23 à 24 euros,à partir de 23 h, rue Hermès, Ramonville-Saint-Agne.

Vendredi 8 mars, Apollonia, Concrete, Paris

En solo ou en trio, les membres du team house le plus français d’Ibiza ne sont finalement pas si rares à Paris. Comme quoi, on peut être prophète en son pays. Il est loin le temps où Dan Ghenacia pouvait déambuler sans être reconnu, un dimanche après-midi au Batofar. Avec ses complices Shonky et Dyed Soundorom, le voici désormais bien installé en haut de l’affiche. Une consécration méritée, quand on pense à ce qu’il a apporté dès les années 90. Avec aussi Diego Krzuse, Le Paresseux et Muelsa.

Pratique : à partir de 23 h, 69, port de la Rapée, Paris XII. 15 euros.

Vendredi 8 mars, Dave Clarke, Magazine club, Lille

Faut-il encore présenter le Baron de la techno, l’homme qui sourit peu aux platines mais qui, en revanche, donne largement le sourire au public quand il entame un mix dont il a le secret, à coups de classiques technos, d’effets dignes du hip-hop et d’une capacité étonnante à se renouveler au fil des ans en restant fidèle à sa ligne de basse. Finalement, le créateur des morceaux “Red” ne vieillit pas. Un éternel jeune homme, en somme… Avec aussi Fred Hush.

Pratique : 10 à 15 euros, à partir de minuit, 84 rue de Trévise.

Samedi 9 mars, Forever DNB, Elisa do Brasil. Petit Bain, Paris

La drum n’bass française a sa princesse depuis qu’elle est apparue dans le paysage festif au milieu des années 90. Qu’il est loin le temps de la jeune femme toute timide dans la cour du château de Keriolet, lors du festival Astropolis. Elisa do Brasil a tenu le cap, malgré les difficultés, et promène son sourire et son sens de la basse un peu partout, toujours surfant sur la vague d’un rythme soutenu.

Avec aussi Digital et Total Science.

Pratique : 16 euros, 7 port de la Gare, Paris XIII, à partir de minuit.

Vendredi 15 mars, Radio Slave, le Badaboum, Paris

Matthew Edwards et son label Rekids sont devenus des poids lourds du paysage électro international avec des productions où le son minimal n’est pas une fin en soi mais bien le début pour créer de redoutables machines à danser, comme l’emblématique “Reverse”. Une bande originale parfaite pour les befores, les afters et même un coeur de nuit tout en (relatives) douceurs. Toujours entraînant, jamais ennuyeux. Avec aussi Vril live et Boskow.

Pratique : 11 à 16 euros, à partir de 23 h 30. 2 bis rue des Taillandiers, Paris XI.

Vendredi 15 mars, RAAR label night, Warehouse, Nantes

Avec Perc, Louisahhh, Maelstrom, et aussi Paul Seul, Von Bikrav.Discord, Maison Acid. Le label de Louisahhh ne fait pas les choses à moitié en invitant le producteur anglais du terrible morceau “Toxic NRG”, capable de retourner en quelques secondes n’importe quel dancefloor. Avec le reste du line-up, le public ne saura plus où donner de la tête, ni des pieds ou des oreilles. Pas grave, il y aura tout le week-end pour se remettre de cette folle nuit…

Pratique : 15 à 18 euros. A partir de minuit, 21 quai des Antilles.

Samedi 16 mars, Omar S, Rex club, Paris

Attention, grand producteur en vue ! Voilà plus de quinze ans que les compositions du natif de Detroit, à l’instar de « Thank U 4 Letting Me Be Yourself » ou « Day » enchantent les amateurs de sons profonds, férus aussi bien de house que de techno et de minimale. La musique d’Omar S se vit autant qu’elle s’écoute. C’est une expérience magique, fervente et gorgée d’émotions. De quoi faire changer d’avis celles et ceux qui font rimer musiques électroniques avec robotique et mécanique. Avec aussi Siler.

Pratique :5, boulevard Poissonnière, Paris X, à partir de minuit. 12 à 15 euros.

Samedi 16 mars, Madman Regent 5e anniversaire, Phil Weeks, Djoon, Paris

Parmi les djs house qui ont forgé la réputation de la scène française dans les années 90, il y a bien sûr D’Julz, Jérôme Pacman, DJ Deep et Jef K. Mais comment ne pas penser, parmi ceux qui poursuivent une belle carrière, à Phil Weeks, l’auteur du magnifique et intemporel « Slow Dance » et de perles qui ont fait la réputation du label Robsoul ? C’est en outre un dj hors pair aux sets fiévreux et énergiquement souriants. Avec aussi Joe Lewandowki, Adam Spielman et Madman Regent crew.

Pratique : à partir de 23 h, 9 à 12 euros, 22, boulevard Vincent-Auriol, Paris XIII.

Samedi 16 mars, Legend, François K, I Boat, Bordeaux

L’intitulé de la soirée n’est vraiment pas usurpé quand on déroule le CV de François Kevorkian, batteur français installé aux États-Unis depuis le milieu des années 70 et qui a vu naître sur place la vague disco, avant de lui-même devenir dj, producteur, promoteur, maître du son et un des membres du célèbre trio house Body and Soul avec ses camarades de jeu Danny Krivit et Joe Claussell. Ses sets extrêmement riches et travaillés sont un voyage sonore à nul autre pareil. Avec aussi Junior Felip et Colten.

Pratique : 16,50 euros,à partir de minuit, quai Armand Lalande.

Samedi 16 mars, Madben, la Barge, Troyes

Accueilli par son ami et résident Antony Dupont (dj local playlisté notamment par Dave Clarke, excusez du peu), Benjamin Leclercq a franchi un nouveau cap depuis la sortie de son premier album et son intégration dans l’écurie Kompakt pour ses bookings internationaux. Le résident du festival breton Astropolis, découvert par Laurent Garnier, est désormais adoubé par d’autres pointures, comme Maceo Plex qui l’a invité sur la scène qu’il programme en mai à Lyon, pour Nuits Sonores.

Pratique : à partir de minuit, 5 euros, quai la Fontaine.

Samedi 16 mars, Heretik night, le Glazart, Paris

La rave party, l’esprit free party (qui ne veut pas dire gratuit, mais bien libre, la générosité et l’ouverture étant au coeur de cet esprit frondeur initial dans les années 90), l’énergie du hardcore, de la techno indus, des sons radicaux et sans concession vont faire trembler les abords du périphérique pour une nuit pleine de BPM bien au-delà de la vitesse réglementaire. Mais pas de danger qu’un radar flashe les excès ! Avec Nout, Electrobugz (Beuns, Krs, Split, Sixela).

Pratique : 18 à 20 euros, à partir de minuit (puis after à 7 h),7-15 avenue porte de la Villette, Paris XIX.

Samedi 16 mars, Richie Hawtin, le Cabaret Aléatoire, Marseille

Il y a des soirées qui marquent plus que d’autres. Quoi qu’on pense de l’évolution du Canadien depuis quelques années, et de la déception qui peut en découler, il ne faut jamais le sous-estimer. Richie Hawtin demeure un dj et un producteur de premier plan, dont le relatif déclin dans l’inspiration (difficile d’égaler ses coups de génie des années 90) est contrebalancé par une créativité dont son dernier live prouve la solidité. Avec aussi Jack Ollins.

Pratique : 16 à 21 euros. A partir de 23 h, 41 rue Jobin, Marseille III.

Samedi 16 mars, Vitalic aka Dima, 1988 Live Club, Rennes

Retour dans les années 90 pour Pascal Arbez-Nicolas qui, entre son alias de superstar Vitalic et son nouveau projet Kompromat avec la moitié de Sexy Sushi, Rebeka Warrior, revient au premier nom qui l’a fait connaître des ravers, avec notamment son tube « Poetry (Shit Again »), qui allait le propulser sur le devant de la scène. Pour ne plus jamais en redescendre. Avec aussi David Asko et BalNoir.

Pratique : 12,50 euros, à partir de minuit, 27 place du Colombier.

Samedi 16 mars, Octave One, l’Ostra club, Nancy

Après avoir fini Speedy J un peu plus tôt dans le mois, le club lorrain frappe à nouveau un grand coup avec les frères Burden, dont le live ne se contente de dérouler un programme sur ordinateur. Octave One, rendu populaire par son hit planétaire « Black Water », magnifié par la voix d’Ann Saunderson, sait comme personne électriser un dancefloor avec une techno percussive, jouant d’un maximum d’effets jusqu’à l’extase, à l’image de leur très efficace titre « Afterglow ». Leur longévité fait d’ailleurs plaisir à voir. Avec aussi Imecka, Dillou et Zeleke.

Pratique : 15 euros, à partir de minuit, 34 boulevard d’Austrasie.

Vendredi 22 mars, RNSC 4 ans, la Machine du Moulin Rouge, Paris

Miley Serious. Derrière ce nom de scène très anglais se cache une raveuse parisienne qui a parfaitement rebondi. La Toulousaine a fait du chemin depuis ses années punk et s’est progressivement imposée dans le milieu électro jusqu’à intégrer avec aisance le circuit des clubs et des festivals. Un espoir qui devrait encore aller plus haut. Elle a le talent pour cela. Avec aussi OR:LA, Bufiman, Ploy, Pépe et Realticheck.

Pratique : 11 à 14 euros, dès minuit, 90 boulevard de Clichy, Paris XVIII.

Samedi 23 mars, Concrete/Withies, Paris

Avalon Emerson, Bambounou et Giant Swan live. Avec aussi Oxyd, Tasker et Upsammy. Comme d’habitude, la péniche des bords de Seine a concocté une fièvre du samedi soir au menu très copieux. Suffisamment pointu pour satisfaire les plus aguerris et assez ouvert afin d’attirer un public club qui a juste envie de danser. L’équilibre parfait avant la sieste dominicale.

Pratique : à partir de 23 h 30, 69, port de la Rapée, Paris XII. 15 euros.

Samedi 23 mars, Robert Hood et DJ Bone, la Belle Electrique, Grenoble

Le son de Detroit sera doublement à l’honneur avec deux djs et producteurs passionnants de la scène américaine qui portent la bonne parole techno, depuis 25 ans pour l’un et deux décennies pour l’autre dans le monde entier. Sous ses différents alias, Robert Hood a d’abord incarné une minimale puissante tout en ne délaissant pas les sonorités dignes de la house. Quant à Eric Dulan, qui a commencé sous les meilleurs auspices (le label Metroplex), ses titres comme « Black Patterns » sont des merveilles à déguster jusqu’au bout de la nuit.

Pratique : 16 à 19 euros, à partir de 23 h, 12 esplanade Andry Farcy.

Samedi 23 mars, Born to rave, le Cabaret Aléatoire, Marseille

Gros déluge de basses en perspective au bord de la Méditerranée, avec en invité d’honneur la moitié du duo légendaire du hardcore français Micropoint, qui s’est d’ailleurs reformé après une longue bouderie en forme de parenthèse. Pour accompagner Radium, le line-up ne manque ni de valeurs sûres (Suburbass), comme de talents locaux (Nikita). Avec aussi Adrenokrome, Neurokontrol, Net Osch vs Dysk.

Pratique : 16, 50 euros. A partir de 23 h, 41 rue Jobin, Marseille III.

Vendredi 29 mars, Concrete/Withies, Paris

DJ Stingray n’a pas arrêté sa carrière après la mort de James Stinson, moitié du duo Drexciyan dont il assurait le rôle de dj. Sherard Ingram, connu pour mixer avec une cagoule, dans la plus pure tradition du Detroit made in Underground Resistance, distille ses sets de techno avec une électro qui font de ses prestations un mélange vraiment captivant. Avec aussi Varg live. Spfdj, Solid Blake, Eklpx et Benabou.

Pratique : à partir de 23 h, 69, port de la Rapée, Paris XII. 15 euros.

(Photos : Rodolphe Peté)

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Rodolphe Pete

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