Cinema
Les sorties cinéma de la semaine du 3 avril

Les sorties cinéma de la semaine du 3 avril

02 April 2013 | PAR Marie Boëda

Pour cette première semaine d’avril, toutelaculture, vous a préparé les sorties cinéma de la semaine, en attendant les beaux jours.

On commence avec un duo d’actrices “presque” irréprochables … Perfect Mothers d’Anne Fontaine avec Naomi Watts et Robin Wright (1h51). Une histoire mêlant l’amour, la luxure et le pouvoir de l’amitié, qui retrace les liaisons passionnées de Lil et Roz, deux amies d’enfance qui s’éprennent de leurs fils respectifs.

Dead Man Down de Niels Arden Oplev avec Colin Farrell et Noomi Rapace (1h57). Victor est le bras droit d’Alphonse, un caïd new-yorkais. Quelqu’un s’en prend à leur gang, dont les hommes sont abattus les uns après les autres, et l’assassin multiplie les messages de menace.

 Effets secondaires de Steven Soderbergh avec Rooney Mara, Jude Law (1h46). Jon Banks est un psychiatre ambitieux. Quand une jeune femme, Emilie, le consulte pour dépression, il lui prescrit un nouveau médicament. Lorsque la police trouve Emilie couverte de sang, un couteau à la main, le cadavre de son mari à ses pieds, sans aucun souvenir de ce qui s’est passé, la réputation du docteur Banks est compromise…


11.6
de Philippe Godeau avec François Cluzet et Bouli Lanners (1h42). Toni Musulin est convoyeur de fonds depuis dix ans. Le 5 novembre 2009, à 10 heures du matin, il appuie doucement sur l’accélérateur de son fourgon blindé. A l’arrière de son véhicule, 11,6 millions d’euros.

Amour & Turbulences d’Alexandre Castagnetti avec Ludivine Sagnier et Nicolas Bedos (1h36). Alors qu’un avion la ramène de New York à Paris où elle s’apprête à se marier, la belle Julie se retrouve assise à côté d’Antoine, un séduisant débauché qu’elle a aimé 3 ans plus tôt. Elle va tout faire pour l‘éviter alors qu’il compte sur ces 7 h de vol pour la reconquérir!

Berberian Sound Studio de Peter Strickland avec Toby Jones et Cosimo Fusco (1h32). 1976 : Berberian Sound Studio est l’un des studios de postproduction les moins chers et les plus miteux d’Italie. Seuls les films d’horreur les plus sordides y font appel pour le montage et le mixage de leur bande sonore.

Inch’Allah d’Anaïs Barbeau-Lavalette avec Evelyne Brochu et Sabrina Ouazani (1h41). Dans un camp de réfugiés palestiniens en Cisjordanie, Chloé, jeune sage femme québécoise accompagne les femmes enceintes. Entre les check points et le mur de séparation, Chloé rencontre la guerre et ceux qui la portent de chaque côté.

Free Angela de Shola Lynch avec Angela Davis et Eisa Davis (1h37). L’histoire d’une jeune professeure de philosophie, née en Alabama, issue d’une famille d’intellectuels afro-américains, politiquement engagée. Durant sa jeunesse, Angela Davis est profondément marquée par son expérience du racisme, des humiliations de la ségrégation raciale et du climat de violence qui règne autour d’elle.

Quaperfect_mothers_rtet de Dustin Hoffman avec Maggie Smith et Tom Courtenay. À Beecham House, paisible pension au cœur de la campagne anglaise qui accueille des musiciens et chanteurs d’opéra à la retraite, un bruit court : nouvelle pensionnaire arriverait sous peu.

La Maison de la radio documentaire de Nicolas Philibert (1h43). Une plongée au cœur de Radio France, à la découverte de ce qui échappe habituellement aux regards : les mystères et les coulisses d’un média dont la matière même, le son, demeure invisible.

Il Manors de Ben Drew avec Riz Ahmed et Ed Skrein (2h00). Kirby, ex dealer, vient de sortir de prison, Ed est une tête brûlée, Michelle, une prostituée sous surveillance et le jeune Jack, se trouve empêtré au sein d’un gang local. Chris est déterminé à se venger et Katya cherche désespérément à fuir ce trouble voisinage.

Kinshasa Kids de Marc-Henri Wajnberg avec Emmanuel fakolo et Gabi Bolenge (1h25). Kinshasa, Congo. Huit enfants des rues, considérés comme sorciers par leurs familles, montent un groupe de musique pour déjouer le sort et reprendre le contrôle de leurs vies. Aidés par Bebson, musicien allumé qui s’improvise manager, ils feront vibrer la ville!

Jaurès de Vincent Dieutre avec Eva Truffaut et Vincent Dieutre (1h22). Elle est venue voir. Je n’ai aucune photo de Simon à lui montrer, aucune trace que ces plans volés, pris des fenêtres de chez lui, du côté du métro Jaurès : le canal, les voitures, la vie de quartier et cette poignée de réfugiés afghans confinés sous la voûte Lafayette…

La Dolce Vita de Federico Fellini avec Marcello Mastroianni et Anita Ekberg (2h40). Marcello Rubini, a quitté sa province italienne pour Rome dans le but de devenir écrivain. Mais celui-ci est devenu chroniqueur dans un journal à sensations. Il fait donc la tournée des lieux dans lesquels il est susceptible de décrocher quelques scoops afin d’alimenter sa chronique.

Huit et demi de Federica Fellini avec Marcello Mastroianni et Anouk Aimée (2h18). Un cinéaste dépressif fuit le monde du cinéma et se réfugie dans un univers peuplé de fantasmes.

Une jeunesse amoureuse documentaire de François Caillat avec François Caillat ( 1h45). Paris des années 70. François Caillat nous y raconte ses souvenirs et dresse en même temps le véritable portrait d’une génération. Une jeunesse amoureuse mêlant aux images actuelles de la capitale, des fragments de lettres, photos de femmes, musique d’époque…

Men on the Bridge de Asli Özge avec Fikret Portakal et Murat Tokgöz (1h27). Fikret, Umut et Murat se côtoient sans se connaître sur le pont qui enjambe le Bosphore tous les jours à l’heure de pointe, comme des millions d’autres Istanbuliotes, et luttent pour parvenir à accomplir leurs aspirations dans cette métropole.

Le Venta del paraiso d’Emilio Ruiz barrachina avec Ana Claudia Talancon et William Miller (1h42). Aura María, une jeune fille mexicaine quitte sa famille pour une promesse de travail à Madrid. Mais dès son arrivée elle va être confrontée à une réalité inhumaine loin du paradis rêvé.

Larmes de joie de Mario Monicelli avec Anna Magnani et Toto (1h46). Une médiocre figurante de cinéma passe le réveillon avec un petit voleur de bijoux, et le termine en prison. Qu’importe, si l’optimisme est là !

Opéra Katia Kabanova de François Roussillon avec Karita Mattila et Oleg Bryjak. Théâtre Real de Madrid . Orchestre et chœurs symphoniques de Madrid. Opéra en 3 actes. Dans l’environnement étouffant d’une petite ville de province, Katia Kabanova, mariée au fade Tichon, est haïe par sa belle-mère, la Kabanicha. Elle se lie d’amitié avec la jeune Varvara qui, lors d’un voyage du mari, aide Katia à rencontrer secrètement Boris, dont la force brutale l’attire.

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Marie Boëda

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