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Les vernissages de la semaine du 9 janvier

Les vernissages de la semaine du 9 janvier

09 January 2014 | PAR Geoffrey Nabavian

 

 

 

 

 

Plein d’art pour cette première semaine de 2014. Serez-vous peinture, qu’elle soit figurative ou abstraite, ou bien velours ou vidéo ?

Frederic CaillardJeudi, ouverture de « The Pink Spy », exposition de Narcisse Tordoir, à la galerie Dukan. Une relecture des œuvres de Giambattista Tiepolo, italien du XVIIIème, de ses fresques et gravures, par l’artiste belge adepte du relief. Et à la galerie Jean Brolly, de l’exposition de Mathieu Cherkit « Circulation intérieure ». De la peinture qui représente et traque jusqu’au bout les accidents du quotidien. A noter également, Frédéric Caillard expose ses œuvres, où l’abstraction interroge l’art cinématographique, au Pavé d’Orsay, lors d’une exposition intitulée « Cinémas ». Et Jacques Villeglé rencontre Nicolas Aiello à la galerie ENTRE, pour une exposition intitulée « Glyphes animés », dont le but est de décrypter le rapport image-texte. Enfin, au Bétonsalon, « The Secessions Sessions » , un projet d’Eric Baudelaire avec Maxim Gvinjia. Une série d’ « invitations » destinées à interroger la construction d’un état. Avec un exemple de choix : l’Abkhazie.

Vendredi, à Bruxelles, l’exposition « Velvet Skin », de Gudrun Kampl, a son vernissage, en présence de l’artiste, à la galerie Valérie Bach. Des objets et installations en velours, pour traduire une recherche d’érotisme, d’intimité et de familiarité.

Samedi, vernissage de l’exposition de Gérard Garouste « Contes ineffables », à la galerie Templon. Une exposition sur les mythes et les histoires, destinée à plonger ses visiteurs dans un sentiment de flottement salvateur. L’installation « Vivre en pensée », de Lionel Estève, à Chelles, aux Eglises, fera également flotter le spectateur, amené à faire son propre parcours à travers lumières et vibrations. Egalement, à la galerie Magda Danysz, des œuvres en noir et en blanc de trois artistes, YZJonOne, artistes urbains, et Nicolas Buffe, dans une exposition très justement titrée « Black&White ». Les couleurs minimales et l’art de la nuance. Et, à l’Atelier de Paris Carolyn Carlson, présentation exceptionnelle des archives de la Collection Carolyn Carlson, rassemblées par la célèbre chorégraphe et danseuse et mises en ligne.

Dimanche, pourquoi pas une exposition en famille ? « Jeu vidéo, l’expo », toujours à la Cité des Sciences et de l’Industrie.

Lundi, rappel, vous devez courir découvrir « The Calendar Story » et ses œuvres d’art contemporain de Chine et d’Asie du Sud-Est, présentes à la galerie Sotheby’s seulement jusqu’au 18 janvier.

Mardi, galerie Marian Goodman, vernissage de l’exposition « JG » de la vidéaste Tacita Dean. Film, land art et James Graham (« JG ») Ballard.

Mercredi, à la galerie Thaddaeus Ropac, une installation en quatre volets du vidéaste Harun Farocki, « Parallele I-IV ». Thématique: l’image animée créée par ordinateur, et les composantes des univers virtuels (personnages, objets…). A vous de jouer, maintenant !

visuel : Gérard Garouste, Le théâtre de Don Quichotte, 2012 (c) Daniel Templon

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Geoffrey Nabavian
Parallèlement à ses études littéraires : prépa Lettres (hypokhâgne et khâgne) / Master 2 de Littératures françaises à Paris IV-Sorbonne, avec Mention Bien, Geoffrey Nabavian a suivi des formations dans la culture et l’art. Quatre ans de formation de comédien (Conservatoires, Cours Florent, stages avec Célie Pauthe, François Verret, Stanislas Nordey, Sandrine Lanno) ; stage avec Geneviève Dichamp et le Théâtre A. Dumas de Saint-Germain (rédacteur, aide programmation et relations extérieures) ; stage avec la compagnie théâtrale Ultima Chamada (Paris) : assistant mise en scène (Pour un oui ou pour un non, création 2013), chargé de communication et de production internationale. Il a rédigé deux mémoires, l'un sur la violence des spectacles à succès lors des Festivals d'Avignon 2010 à 2012, l'autre sur les adaptations anti-cinématographiques de textes littéraires français tournées par Danièle Huillet et Jean-Marie Straub. Il écrit désormais comme journaliste sur le théâtre contemporain et le cinéma, avec un goût pour faire découvrir des artistes moins connus du grand public. A ce titre, il couvre les festivals de Cannes, d'Avignon, et aussi l'Etrange Festival, les Francophonies en Limousin, l'Arras Film Festival. CONTACT : [email protected] / https://twitter.com/geoffreynabavia

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