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Soirées électro de mars : par ici la sélection…

Soirées électro de mars : par ici la sélection…

21 February 2018 | PAR Rodolphe Pete

Voici une sélection subjective, forcément incomplète mais fondée sur des coups de cœur, de soirées à Paris et en régions pour le dernier mois d’hiver qui annonce un printemps forcément électro !

Vendredi 2 mars, Benevolent Anarchy, Gibus, Paris
Pour sa résidence dans le célèbre club de la capitale ayant vu défiler tant de beaux événements, le label Raar sera présent en mars pour trois vendredis de musique électronique qui vont réchauffer les cœurs et les oreilles. Aux platines notamment, Maud Geffray, moitié du duo Scratch Massive mais qui s’est largement fait une réputation solo, et Louisahhh, la plus Parisienne des Américaines, cofondatrice du label Raar avec Maelstrom qui sera lui aussi de la partie. L’ancienne protégée de Brodinski sur Bromance n’a plus besoin de personne pour voler de ses propres ailes et marquer les dancefloors de son impact.
Infos pratiques : Minuit- 8 h. Entrée : 15 euros. Gibus, 18 rue du Faubourg du Temple (Paris XIe).

Vendredi 2 mars, Born to rave, le Trabendo, Paris
Hard electronic party, le ton est donné pour une rave à l’ancienne dans une salle chaleureuse, à deux pas du Zénith, parfaitement adaptée à tous types de concerts. Y compris au déluge de BPM annoncé avec un line-up où aucun temps mort n’est prévu. Entre notamment Noize Suppressor, Day-Mar, Maissouille, l’amateur de sensations fortes ne sera pas déçu par son voyage en hardcorie. Âmes sensibles s’abstenir, sauf si l’on a le cœur très bien accroché !
Infos pratiques :le Trabendo, 211 avenue Jean Jaurès (Paris XIXe).

Vendredi 2 mars, Skryptom night, 1988 Live club, Rennes
Avec le producteur sudiste Moteka, le label parisien, qui a fêté ses dix ans par un disque anniversaire l’an passé présentera la nouvelle configuration du trio Mod3rn, où le Toulousain Kmyle remplace le Parisien Traumer. Mais rien n’a finalement changé dans l’unité, l’énergie et l’entrain du groupe mené de main de maître par Electric Rescue avec son fidèle ami Maxime Dangles. Leur live de plusieurs heures est un festival de machines endiablées, de techno fougueuse et de cavalcades survoltées. Mieux vaut se préparer à danser d’un bout à l’autre d’une prestation toujours généreuse !
Infos pratiques : minuit- 5 h, 7 ou 10 euros. 27, place du Colombier, Rennes.

Samedi 3 mars, Hardkaze festival, Toulon (Var)
Plusieurs milliers de personnes sont attendues de toute la France (des bus ont même été affrétés!) pour un plateau exceptionnel et même unique dans la région, voire au-delà. Certes, il faut aimer les soirées à la sauce gabber hollandais et allemand, ne pas avoir peur d’en prendre plein les oreilles, à coup de harstyle, rawstyle, hardcore, frenchcore et terror, avec notamment Frequencerz, Partyraiser, F. Noze ou Deetox. Les organisateurs promettent par ailleurs un light show exceptionnel, en plus bien sûr d’un son à faire passer le décollage d’un avion de chasse pour une plaisanterie…
Infos pratiques : Zénith Oméga, boulevard Commandant-Nicolas, Toulon (derrière la gare SNCF).

Samedi 3 mars, Alva Noto, Gaîté lyrique, Paris
C’est un concert événement dans un lieu magique qui attend les amateurs de recherche musicale. Ici, il n’est pas question de danse, au sens du dancefloor de la fièvre du samedi soir, mais d’une expression aux confins de la recherche, avec le son comme tête chercheuse vers d’autres sensations. De son vrai nom Carsten Nicolai, l’Allemand Alva Noto est une référence mondiale dans la création musicale de réflexion, sans que l’ennui ne perturbe une écoute attentive. On sort forcément différent de ses (rares) prestations en France. Raison de plus pour ne pas manquer son passage parisien.
Infos pratiques : 26 euros, 19 h 30. La Gaîté lyrique, 3 bis rue Papin (Paris IIIe).

Samedi 3 mars, festival Free Sons Divers, Les Herbiers (Vendée)
Invité d’honneur de la 16e édition, Etienne de Crécy se chargera de rappeler aux plus jeunes un CV plus que fourni depuis notamment (sans même remonter au-delà) du premier Superdiscount il y a vingt ans. Si le front s’est dégarni et la moustache s’est fournie, le génial bidouilleur de la French Touch n’a jamais cessé d’être à la mode, c’est-à-dire hors des modes, modelant un live visuel en trois dimensions exceptionnels et prouvant aussi en dj set qu’il avait une belle inspiration. Jouant les morceaux des autres comme les siens, parfaitement recommandables (qui peut résister à son « Relax »?).
Infos pratiques : 20 h-3 h. Espace Herbauges, Les Herbiers.

Dimanche 4 mars, Go Deep, le Badaboum, Paris
Que faire un dimanche après-midi en dehors d’un brunch, de la sieste, d’une visite au musée ou d’une séance au cinéma ? Pour les amateurs de house, la question est résolue avec le line-up de ce goûter très gourmand. En vedette, Dan Ghenacia, soit le tiers du trio Apollonia (avec Shonky et Dyed Soundorom). Le petit brun a fait beaucoup de chemin depuis ses premières amours couchées sur un disque à la gloire du San Francisco sound. Vedette à Ibiza, tournant dans le monde entier, le dj français demeure une valeur sûre, inspirée et jamais décevante.
Infos pratiques : 16 h-minuit, le Badaboum, 2B rue des Taillandiers, Paris XIe.

Vendredi 9 mars, B Trax night, Rex club, Paris
Dans le cadre des 30 ans de la salle mythique des grands boulevards, le label parisien B Trax ne pouvait pas être absent des festivités. Avec le retour d’un live qui a fait ses preuves et met carrément en surchauffe immanquablement l’assistance. Le duo Extrawelt assurera cette fois la promotion de son nouvel album, « Fear of an extra planet », mais nul doute qu’il ne cale pas quelques classiques dont il a le secret. Entre trance et techno, Wayan Rabe et Ame Schaffhausen n’ont pas leur pareil pour créer des boucles envoûtantes, comme « Soopertrack », « Neuland » ou « Dark side of my room ».
Infos pratiques : à partir de minuit, 12 ou 15 euros, Rex club, 5 boulevard Poissonnière, Paris Xe.

Samedi 10 mars, Ideal Juice, Rex club, Paris
Le résident Djebali a la bonne idée d’inviter une légende de la techno japonaise en la personne de Fumiya Tanaka. Figure discrète, mais ô combien importante des musiques électroniques dans son pays et bien au-delà depuis plus de deux décennies. Bien avant la mode de la minimale et ses caricatures suiveuses, le fondateur du label Torema, qui s’est notamment fait connaître avec l’excellent quatrième volume des Mix-Up, est un magicien de la production, capable de créer des petits bijoux indémodables comme « Fur Elodie ». Un passage à ne rater sous aucun prétexte.
Infos pratiques : à partir de minuit, 12 ou 15 euros, Rex club, 5 boulevard Poissonnière, Paris Xe.

Samedi 10 mars, Encore la Mamie’s !, la Machine du Moulin Rouge, Paris
Deux poids lourds de la techno anglo-saxonne, plutôt rares à Paris, feront la joie des amateurs du style, avec le technicien des platines Ben Sims, producteur et remixeur émérite, tenant d’une techno cavalante, percussive et chaleureuse, qui sera aux côtés du créateur du label Blueprint, James Ruskin, auteur d’un des plus beaux morceaux jamais composés, « Detached », repère du début des années 2000. Un duo qui promet une nuit pas comme les autres, avec de beaux souvenirs à la clef.
Infos pratiques : 23 h 50- 6 h, central et chaufferie, 90 boulevard de Clichy, Paris XVIIIe.

Samedi 10 mars, DVS1, Ostra club, Nancy
Déjà cinq ans que cette salle à la réputation sans faille réjouit les fans de musiques électroniques en Lorraine. Avec de beaux coups de programmation comme la venue de l’Américain DVS1, qui sera notamment aux côtés du Français Antigone. Avec l’homme au crâne chauve, il ne faut pas s’attendre à des subtilités, mais bien à un rouleau compresseur taillé pour le dancefloor. Ce qui n’est pas synonyme de bourrin, simplement d’une techno ne prenant pas de gants. Comme les maîtres allemands Ben Klock et Marcel Dettmann, DVS1 est une arme de construction massive pour faire s’affoler un public à coups de beats ravageurs.
Infos pratiques : 3 h- 10 h, 11 ou 13 euros, 34 boulevard d’Austrasie, Nancy.

Samedi 10 mars, concert de Rone, Cabaret Aléatoire, Marseille
Le petite prodige Erwan Castex est devenu grand et s’est imposé dans le monde entier avec trois albums depuis 2012. Avec un univers sonore et visuel maîtrisé, inspiré et une ouverture sur le monde particulièrement généreuse, le trentenaire fait mouche à chacune de ses sorties. Son dernier opus en date, « Mirapolis » signe une vraie maturation dont le sublime « Brest » est la plus brillante illustration. En concert, la musique de Rone prend une dimension supplémentaire, ce qui donne à son passage marseillais un attrait supplémentaire pour les Sudistes…
Infos pratiques : 20 h 30, 24, 80 euros. 41 rue Jobin, Marseille (IIIe).

Jeudi 15 mars, Overground X Lost on you, Rex club, Paris
Pourquoi se motiver à sortir un jeudi, alors qu’il y a encore le vendredi à passer pour enfin profiter du week-end ? Certes, la fatigue sera peut-être de rigueur, mais comment ne pas céder à la tentation et venir écouter la boss du label Terminal M, la divine Monika Kruse. Toujours en haut de l’affiche, l’ancien mannequin s’est construit une solide carrière grâce à sa dextérité aux platines et à un sens de la production que personne ne peut lui contester depuis son album « Passenger » en 2003, avec par exemple le roboratif « Runaway ».
Infos pratiques : à partir de minuit, 7 ou 10 euros, Rex club, 5 boulevard Poissonnière, Paris Xe.

Vendredi 16 mars, Daniel Avery all night long, Rex club, Paris
Faut-il encore présenter l’un des djs et producteurs les plus doués de sa génération, auteur par exemple du superbe album « Drone logic » ? A l’instar d’Erol Alkan, Daniel Avery a le chic pour mêler les influences, se construire un univers hétéroclite mais parfaitement cohérent, emmener un dancefloor dans un long et aventureux voyage sonore, où le techno n’est pas une autoroute, mais une succession de virages pour multiplier les sensations et les souvenirs. Pour ses 30 ans, le Rex fait un beau cadeau à son public.
Infos pratiques : à partir de minuit, 15 ou 20 euros, Rex club, 5 boulevard Poissonnière, Paris Xe.

Vendredi 16 mars, Jacob & Encore, le Transbordeur, Villeurbanne
Deux poids lourds de la techno mondiale, rien de moins pour transformer la salle de concert en rave à l’ancienne. Robert Hood, pionnier de la minimale puissante et ravageuse il y a vingt ans, quand il ne joue pas davantage house sous son alias Floorplan, et Oscar Mulero, l’Espagnol au CV long comme ses bras tatoués, héros d’une techno aussi sombre que profonde et bouleversante. Un casting de choix, de rêve et de rave…
Infos pratiques : 23 h 30-5 h, 25, 51 euros, 3 boulevard de la Bataille-de-Stalingrad, Villeurbanne.

Vendredi 16 mars, Sapiens Night, la Belle Electrique, Grenoble
Un enfant du pays (Oxia) accueille un ancien voisin, ex-Lyonnais parti à Paris (Agoria) pour une soirée dédiée au label du second. Qu’ils en ont fait du chemin, l’ancien membre de Phunky Data et le petit prodige des raves de la cité des Gaules ! Ils sont devenus des références, ont évolué dans leur son, mais demeurent fidèles à leurs valeurs de partage et de recherche, au service de la musique qui fait plaisir aux cœurs et aux oreilles, qu’elle soit house, techno ou plus minimale. Une belle promesse de voyage…
Infos pratiques : à partir de 23 h, 19, 8 euros. 12, esplanade Andry-Fary, Grenoble.

Samedi 17 mars, It’s called techno, le Glazart, Paris
Parmi les invités de One One Six, le plus Français des Londoniens, le vétéran Arnaud Le Texier, à la tête du label Children of Tomorrow, évoluant depuis 25 ans dans le milieu, nourri de sérieuses références et toujours au top niveau aux platines. Une valeur sûre qui propose une techno subtile, riche et jamais enfermée dans un quelconque carcan. Efficace, parfois sombre ou flirtant avec la house, mais toujours tendue vers l’accomplissement du dancefloor.
Infos pratiques : 23 h 55- 7 h, 13 euros, 7-15 avenue de la porte de la Villette, Paris XIXe.

Vendredi 23 mars, Expressillon party, Concrète, Paris
Voilà un line-up qui sonne bon les années 90, le débarquement des travellers d’outre-Manche, les premiers teknivals en région parisienne, puis dans le Sud, les basses dans les champs et les camions nomades pour porter la bonne parole techno. Signal électrique, Jeff 23, Interlope, 69DB et Crystal Distorsion (entre autres), le programme ne manque pas de piquants, de ressorts et de vitamines. Au public d’être en forme pour affronter un déluge sonore qui ne connaîtra aucune accalmie pendant la nuit !
Infos pratiques : à partir de 22 h, 69 port de la Rapée, Paris XIIe.

Vendredi 23 mars, Club Cabaret, Cabaret Aléatoire, Marseille
La sublime Cassy fera danser les amateurs de house pour un Club Cabaret qui porte parfaitement son nom. Mais l’Anglaise, qui a vécu en Autriche avant de s’installer en Allemagne, est loin d’être une simple poupée de sons. Productrice, collaborant avec les plus grands (dont Ricardo Villalobos), résidente de l’estimé Panorama bar de Berlin, excellente aux platines en distillant un savoureux mélange de house, minimale et techno, la charmante métisse fera chavirer plus d’un coeur et les oreilles de tous les pratiquants du dancefloor.
Infos pratiques : 23 h, 6 euros. 41 rue Jobin, Marseille (IIIe).

Vendredi 23 mars, Under, Warehouse, Nantes
La résidence techno de ce nouveau lieu déjà très prisé n’accueille pas moins que le Baron de la techno, le seul et unique Dave Clarke, producteur remarquable, technicien hors pair aux platines et inlassable globe-trotter de la bonne parole des musiques électroniques sans concession dans le monde entier. N’ayant jamais cédé aux modes, l’Anglais installé à Amsterdam ne mâche pas ses mots, est resté fidèle à une ligne dure et intransigeante, se nourrissant de rythmes implacables pour emmener le fan de techno dans les hautes sphères du dancefloor.
Infos pratiques : 23 h 55 – 6 h, 21 quai des Antilles, Nantes.

Samedi 24 mars, Fritz Kalkbrenner, Terminal 7, Paris
Moins connu que son frère Paul qui a explosé grâce notamment à la bande originale du film « Berling Calling », le petit Fritz (par l’âge, mais pas la taille) n’en est pas moins aussi talentueux, dans un autre registre. Plus mélodieux, plus vocal (c’est d’ailleurs lui qui chantait sur leur succès commun, « Sky and Sand »), plus accessible peut-être, avec cette capacité à créer des perles sonores comme « Facing the sun » ou « Back home ». Des airs, qui une fois entendus, ne sont pas prêts d’être oubliés.
Infos pratiques : Terminal 7, 1 place de la porte de Versailles, Paris XVe.

Samedi 24 mars, Motor City Drum Ensemble, Concrète, Paris
Place à la house à l’ancienne, gorgée de disco, de vocaux, de cuivres et de percussions avec Danilo Plessow, alias Motor City Drum Ensemble. Le jeune trentenaire, loin de vivre dans une ennuyeuse nostalgie, s’évertue à remettre au goût du jour un son toujours d’actualité, que les plus jeunes n’ont bien sûr pas connu. Le public de Concrete est ainsi conviée à une fièvre du samedi soir où les jeans à pattes d’éléphant et la boule à facette seront de rigueur !
Infos pratiques : à partir de 22 h, 69 port de la Rapée, Paris XIIe.

Samedi 24 mars, Paula Temple, l’Aéronef, Lille
Avec un artiste de choix tel que Tommy Four Seven, la venue dans le Nord de Paula Temple n’en est que plus intéressante, tellement ce plateau s’annonce prometteur. Avec ce duo, les amateurs de techno gorgée de BPM ne seront pas déçus, car ils ont chacun le sens de la construction d’un set pour emmener les spectateurs vers une techno sans concession, charpentée, généreuse et puissante. Un déluge qui va faire du bien aux pieds comme aux oreilles !
Infos pratiques : 21 h- 3 h, 14 à 21, 70 euros,168 avenue Willy-Brandt, Lille.

Vendredi 30 mars, Haïku avec Adriatique, la Machine du Moulin Rouge, Paris
La Suisse, ce ne sont pas que les banques, le chocolat ou le bon air des montagnes. C’est aussi un excellent duo de house music, Adriatique, qui a notamment tapé dans l’œil du très recommandable Solomun. Les créateurs du label Siamese n’ont pas leur pareil pour transmettre un son profond et chaloupé, idéal pour se réchauffer lors d’une nuit d’hiver. Subtil, léger et envoûtant comme un parfum réussi. Ce n’est pas un hasard s’ils ont marqué les esprits lors de leur passage à Ibiza, l’an dernier, au closing de la Woomoon party.
Infos pratiques : 22 h 30- 6 h, chaufferie, 90 boulevard de Clichy, Paris XVIIIe.

Vendredi 30 mars, TTC anniversary, la Machine du Moulin Rouge, Paris
Une vraie fête, joyeuse et foutraque, à la croisée des styles, voilà qui est garanti pour les retrouvailles du groupe TTC à l’occasion des vingt ans de sa naissance. Teki Latex, Tido Berman, Cuizinier et DJ Orgasmic ont su créer à l’époque un pont bienvenu entre rap et électro, sans se prendre au sérieux, avec des paroles provocantes, des collaborations improbables, et au final un métissage sonore qui a eu une importance aussi profonde que réelle. Avec un seul crédo : s’amuser et faire plaisir !
Infos pratiques : 23 h 50-6 h, chaufferie, 90 boulevard de Clichy, Paris XVIIIe.

Samedi 31 mars, Nursery, le Glazart, Paris
Pour son cinquième épisode, Nursery met en avant une des valeurs montantes de la techno made in France, en la personne de Charles Fenckler, qui a eu la chance d’intégrer le label écossais Soma, à la pointe des musiques électroniques depuis plus de 20 ans. Il suffit d’écouter son morceau « Stellar Acid » pour comprendre qu’à l’instar d’Antigone, Zadig ou François X, le jeune homme a tout compris, a écouté ce qu’il fallait, en a retenu les bases et s’avère parfaitement équipé pour poser sa pierre à l’édifice de la rave.
Infos pratiques : Minuit- 7 h, 5 à 15 euros, le Glazart, 7-15 avenue de la porte de la Villette, Paris XIXe.

(Photos : Rodolphe Peté)

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SériesMania Lille.
Rodolphe Pete

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