Quand Napoléon parle de religion…
Cet ouvrage reprend les mémoires de proches de Napoléon qui ont recueilli ses libres propos sur la religion, avec une préface de Jean TULARD.
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NAPOLÉON A RECOMPOSÉ LE CATHOLICISME FRANÇAIS
Au sortir de la tourmente révolutionnaire, il revient à Napoléon de pacifier les conflits religieux.
L’incroyance est de mise dans la classe politique, mais il choisit de se faire sacrer empereur par le pape Pie VII.
L’athéisme règne dans les salons, mais il choisit de proclamer que la religion catholique, apostolique et romaine, est la religion de la grande majorité des citoyens français.
L’empereur est aussi celui qui utilise le rétablissement de la hiérarchie ecclésiastique pour encadrer les masses populaires :
Les évêques sont ses préfets en violet qui prêchent le catéchisme impérial et l’aident à contenir la foule.
LES SENTIMENTS RELIGIEUX INTIMES DE NAPOLÉON
Robert Antoine de Beauterne, ancien lieutenant de chasse de Napoléon, publie un ouvrage » Mort de Napoléon Religieux », et ensuite en 1840 « Conversations religieuses de Napoléon ».
Napoléon a reçu à son décès, l’extrême-onction.
Le testament de Napoléon commence ainsi » Je meurs dans la religion catholique «
Ce petit livre évoque, un coin de la personnalité de l’empereur rarement évoqué.
Cela permet également de se demander, quelle est la position des hommes politiques, vis-à-vis de la religion.
Souvent, cela résulte de l’intime.
Napoléon évoque ses sentiments religieux, et la vie après la mort entre autres.
Il évoque son amitié, pour un abbé corse, l’abbé Vignali.
Il estime, que le catholicisme, est plus spirituel, est supérieur aux autres religions.
Napoléon Bonaparte, Conversations sur le christianisme, préface de Jean Tulard septembre 2014 9,90 euros 136 pages
