Essais
“Minus Lapsus et Mordicus”, un essai sur le latin par Henriette Walther

“Minus Lapsus et Mordicus”, un essai sur le latin par Henriette Walther

03 January 2015 | PAR Jean-Paul Fourmont

Henriette Walter, professeur émérite de linguistique, présidente de la société internationale de linguiste fonctionnelle, et membre du conseil supérieur de la langue française, nous rappelle à travers un essai vif, que nous parlons tous latin sans le savoir.

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Minus Lapsus et MordicusTOUS LES JOURS ET SANS Y PENSER NOUS PARLONS LATIN
C’est tout naturellement, que nous employons tous les jours et sans y penser des mots comme lavabo, agenda, quiproquo ou constat qui ont l’air tellement français, mais qui sont en réalité des mots du latin sous leur forme d’origine, au même titre que consensus, placebo.

IL Y A DIFFÉRENTS LATINS
On peut passer du latin d’églises, au latin des tribunaux ou encore au latin d’Astérix au latin de cuisine.
Le Latin est encore une langue vivante, n’est pas mort avec la chute de l’Empire romain.
Le latin populaire dit vulgaire a remplacé, le latin classique de Cicéron, a donné naissance après une évolution, aux langues romanes, comme le français et l’italien.
On retrouve du latin, dans toutes les langues, même dans l’anglais.
Le latin a emprunté aux grecs et aux étrusques.
Cet ouvrage (avec index et classifications multiples), nous permet de comprendre le latin, sous ses différents aspects (historiques, géographiques, linguiste), c’est tout l’intérêt de ce livre.
Grâce aux échanges internationaux, et à la science, le Latin vit encore.
Cette étude permet de voir un aspect de l’évolution l’humanité, la langue.

Henriette Walter, Minus Lapsus et Mordicus, Nous parlons tous latin sans le savoir. Éditions Robert Laffont 22 euros, 307 pages novembre 2014.
visuel : couverture du livre

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Jean-Paul Fourmont
Jean-Paul Fourmont est avocat (DEA de droit des affaires). Il se passionne pour la culture, les livres, les gens et l'humanité. Contact : [email protected]

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