Exposition Paul Kallos – galerie Le Minotaure – Institut Culturel Hongrois – Galerie Alain Le Gaillard

14 February 2011 | PAR galerieleminotaure

A l’occasion du 10e anniversaire de la mort de Paul Kallos, le voile se lève sur son œuvre au travers d’une grande exposition-hommage qui se tiendra simultanément à la galerie le Minotaure, à l’Institut Hongrois et à la Galerie Alain Le Gaillard. Plus d’une soixantaine de peintures retraçant l’évolution de celui qu’on a communément surnommé “l’architecte des transparences” pour une rétrospective inédite.

L’œuvre de l’artiste d’origine hongroise qui est à rapprocher de celle de son célèbre compatriote Hantaï, oscille entre abstraction et figuration en laissant comme Cézanne une place structurante à la couleur…

A partir de début avril prochain, Paris rendra enfin hommage à Paul Kallos, « l’architecte des transparences », au travers d’une rétrospective exceptionnelle présentée dans trois lieux de la capitale, au coeur de Saint-Germain-des-Prés : à l’Institut Hongrois, et aux galeries Le Minotaure et Alain Le Gaillard.

En cette année anniversaire de la mort du peintre d’origine hongroise, cette re-découverte prend une importance qui n’a d’égal que la force de création de cet artiste trop injustement oublié pour n’avoir pas céder aux modes. Pour Paul Kallos, le temps fait bien les choses! Avec cette exposition en trois volets, il sait reconnaitre la marque d’un précurseur, d’un style propre, fluide et construit, envoutant et intemporel …

Pour ce coup de projecteur sur l’oeuvre du Paul Kallos, ce sont pas moins d’une soixantaine d’oeuvres qui seront réunies et qui retraceront toutes les étapes de l’évolution de sa peinture. Kallos, proche de son compatriote Hantaï, autant influencé par les maîtres de la lumière que sont Rembrandt ou Goya, que par Matisse et les américains, Rothko et Newman, développe un art oscillant entre abstraction et création. Parti du surréalisme, il construit à l’instar de Cézanne de véritables modules spatiaux extrêmement précis où la couleur, éclatante, devient structurante. A partir de la fin des années 1970, les géométries deviennent informelles, toujours plus abstraites et naissent ainsi les premières Strates, qui accordent au blanc de la toile un rôle matriciel.

«J’ai passé mon enfance sur la grande plaine hongroise. (…) Je me souviens qu’en été, avec une boîte d’aquarelles, en pleine campagne, j’allais dessiner les arbres qui se reflétaient au bord des étangs : c’est un spectacle qui m’a beaucoup touché et dont la sensation m’est toujours restée. »
Paul Kallos.

Paris rend hommage au peintre Paul Kallos du 07 avril au 26 mai 2011 avec une exposition en 3 volets: Institut Hongrois,

* 92, rue Bonaparte, Paris 6ème.
* Tel: 0 1 43 26 06 44
* e-mail: [email protected]
* www.instituthongrois.fr

galerie Alain Le Gaillard

* 19, rue Mazarine, Paris 6ème.
* Tél. 01 43 26 25 35
* e-mail : [email protected]
* www.alainlegaillard.com

galerie Le Minotaure

* 2 rue des Beaux¬Arts, Paris 6ème – Tél. 01 43 54 62 93
* e¬mail : [email protected]
* Ouvert du mardi au samedi de 10h30à 13 et de 14h30 à 18h30
* www.galerie-leminotaure.com

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galerieleminotaure

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