« Sunshine cleaning », le nouveau rayon de soleil du producteur de « little miss sunshine »
A coup de méthode Coué, Rose Lorkowski tente de fuir les échecs de son existence. Pourtant, celle-ci avait passé haut la main la traumatisante période du lycée grâce son statut de pom-pom girl ultra-populaire fiancée au quater-back. Mais un grain de sable s’est glissé dans la machine et l’existence de cette jolie rousse pétillante a peu à peu glissé vers la monotonie.
Femme de ménage et mère célibataire, Rose, incarnée par Amy Adams, tente tant bien que mal de se bricoler une vie acceptable. Entre un père éternel commercial raté, une sœur décalée, un amant ingrat et un petit garçon très imaginatif, les difficultés sont nombreuses et le jour où son fils se fait de nouveau renvoyer de l’école, il ne lui reste d’autres solutions que de trouver un job lucratif afin de lui permettre de poursuivre sa scolarité dans une école privée. Rose décide donc de monter avec sa sœur Norah une entreprise de nettoyage de scènes de crime.« Sunshine cleaning » est une jolie fable sur les petits bonheurs de la vie qui apparaissent d’autant plus agréables lorsque l’existence semble n’être qu’une longue et douloureuse suite d’événements plus catastrophiques les uns que les autres.
Le producteur de « Little Miss Sunshine » s’inscrit dans la même lignée que son précédent film, révélant des valeurs presque oubliées telles que la solidarité familiale ou la nécessité de ce tourner vers le présent. Appuyé par une jolie palette d’acteurs (notamment le fameux Alan Arkin et la prometteuse Emily Blunt), Sunshine cleaning est sans prétention et émouvant.
Sortie le 10 juin avec Amy Adams, Emily Blunt, Alan Arkin et Jason Spevack
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2 thoughts on “« Sunshine cleaning », le nouveau rayon de soleil du producteur de « little miss sunshine »”
Commentaire(s)
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Romain
J’ai pas été plus emballé que ça par ce film little miss sunshine.
ça monte très vite en gamme, pour stagner puis se cracher un peu comme le vol 447…non là je délire.
Dans le genre legereté fine je préfère mille fois les films de Wes Anderson, nom de dieu! ça à de la gueule!