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L’agenda des vernissages de la semaine du 1er février

L’agenda des vernissages de la semaine du 1er février

01 February 2018 | PAR Stacie Arena

Cette semaine dans l’agenda des vernissages, Toute la Culture vous propose de quoi vous évader un soupçon et surtout… du rêve les amis, DU RÊVE ! Abandonnons les formes communes de nos plannings trop carrés et donnons du relief à l’invisible… Rendez-vous à Paris, Besançon ou Montpellier, pour admirer les contraires s’attirer, entre les quatre murs de nos chères galeries.

 

Du mercredi 31 janvier au samedi 10 février, “Doom, Anatomie du Rêve” Cheyenne Schiavone, NO MAD Galerie, Paris 

Avec cette troisième exposition personnelle dans les murs de la galerie, Cheyenne Schiavone propose au visiteur une nouvelle expérience immersion dans l’univers du subconscient. Aquarelles monumentales et oeuvres multimédia à l’appui, l’artiste ouvre au visiteur les portes d’un royaume d’ordinaire défendu où narration, esthétique punk et poésie se déploient avec force et finesse pour mieux faire la dissection d’un univers sensible et évocateur : celui des songes…

Vernissage mercredi 31 janvier à 18h.

Pour plus d’informations, rendez-vous ici !

Du vendredi 2 février au jeudi 15 mars, “Écritures contemplatives” Tobey – Biberstein, galerie Jeanne Bucher Jaeger, Paris 

Pionnier dans l’exploration du signe en peinture, l’artiste américain Mark Tobey recherche, par le biais de l’abstraction pure, une calligraphie originale, espace sacré dessinant la voie d’un langage universel entre les êtres. Profondément adeptes de méditation qu’ils intègrent activement dans la pratique de leur art, Mark Tobey et Michael Biberstein sont portés par l’écriture d’une réalité spirituelle. Découvrez une exposition itinérante majeure, dédiée à l’artiste disparu en 2013, à la galerie Jeanne Bucher Jaeger à partir du 2 février prochain.

Vernissage le jeudi 1er février, 18h. 

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Du 1er février au 24 février, Pablo Tomek “Rue de Paris”, galerie Christophe Gaillard, Paris 

« Dans son atelier new yorkais, Marcel Duchamp avait laissé s’accumuler sur son Grand Verre, pendant des mois, un Elevage de poussière photographié en 1920 par Man Ray. Ce paysage noir et blanc aux allures de terrain vague vu du ciel rappelle que la poussière, la crasse et les marges ne cessent de perturber et d’ensauvager la création. Et si l’art n’était qu’une cochonnerie, une tentative de transgression vouée à questionner et enfreindre toutes les règles?

Dans l’obscurité des cavernes, dans celle des dépôts de métros ou des rues et impasses de nos villes, dans le noir de la magie des rituels vaudous ou des abysses d’Internet, les artistes sont des virus qui s’engouffrent dans les périphéries de nos mondes pour les hacker, les griffer et les salir, élargissant par le désordre les territoires de la création. En témoigne Pablo Tomek, artiste qui prélève du réel, pollué par l’homme, la matière première et précaire de son travail qu’il exerce toujours dans la contrainte de forces extérieures…

Vernissage jeudi 1er février, 18h. 

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Du 4 février au 20 mai, “Partitions Régulières” Raphaël Zarka, galerie Frac Franche-Comté, Besançon 

L’exposition « Partitions régulières » au Frac Franche-Comté de Besançon, présente des œuvres de Raphaël Zarka : des sculptures modulaires, des photographies, des collages, des dessins et des vidéos à travers lesquels le plasticien explore la persistance et la migration des formes à travers le temps et les usages. Pour réaliser ses Partitions Régulières, Raphaël Zarka s’est approprié les formes scientifiquement établies par Arthur Schoenflies, pour les utiliser à des fins sculpturales en modifiant leur échelle et leurs matériaux. Il en résulte deux types de réalisations. Le premier tend à mettre en valeur la singularité formelle des blocs, comme avec la série La Famille Schoenflies, sept petites sculptures en merisier aux allures de cristaux de bois posées sur le sol.

Vernissage le 3 février, 18h. 

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Du 1er au au 24 février, “Déprogrammations” Jean Dubuffet et Jean-Olivier Hucleux, galerie Christophe Gaillard, Paris 

Déprogrammer ! C’est le maître mot qui unit la démarche de chacun de ces artistes. Chez Dubuffet en premier lieu il s’agit bien sûr avant tout d’une déprogrammation culturelle. S’affranchir des schèmes de cette « asphyxiante culture » pour mieux explorer de nouveaux territoires. Chez Hucleux, la pratique des dessins de déprogrammation est parallèle aux portraits hyper-réalistes qu’il réalise au même moment. Comme un territoire de ressourcement mental. Une démarche initiatique en somme où pour mieux avancer sur le « chemin » il faut savoir se déposséder de tout ce que l’on sait : se déposséder de son propre héritage afin de mieux trouver au travers un magma informel mais terriblement structuré « quelque chose qui est de l’ordre de la vision »…

Vernissage le 1er février, 18h. 

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Le samedi 3 et dimanche 4 février, Ziggy Lou à la Galerie Éphémère, Montpellier 

La Galerie Éphémère ouvre ses portes le 3 et 4 février prochain, pour une sixième édition riche en découvertes en accueillant une quinzaine de nouveaux talents. Une manifestation hybride qui a pour ambition de provoquer la rencontre des amoureux de la Nature et des amateurs d’Art. Pour l’occasion, l’évènement accueille l’artiste Ziggy Lou, qui exposera nombreuses de ses créations. Entre peintures, dessins et graphic design, la talentueuse Ziggy vous invite dans l’univers onirique de tous ces corps cuivrés, habités à la fois par une poésie astrale que par ce coup de crayon taillé aussi vif que son propriétaire. Inhérent à toutes les histoires couchées sur le papier, le féminin n’est jamais bien loin, et pour notre plus grand plaisir. Ziggy Lou a cette manie délicieuse d’habiller ses esquisses d’une palette de couleurs à en tomber amoureux, sans jamais vouloir voir ce regard sépia, quitter le papier…

Vernissage le samedi 3 février, à 11h.

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François Ferrier et Nicolas Desbons, chez OFI

Le peintre François Ferrier que l’on aime tant à la rédaction, auteur de piscines mélancolique et de routes infinies expose en compagnie du designer métallique Nicolas Desbons dans l’espace d’exposition d’OFI Asset Management.

Cher OFI, 22 rue Vernier 75017 Paris, et c’est jusqu’au 9 mars 2018

Visuels : Affiches commerciales, ©Ziggy Lou Facebook

 

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Stacie Arena

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